Véronique Chemla
Ce soir lors de la conférence de l'UEJF "Israël/Palestine : une passion française" à Sciences Po, Guy Konopnicki a refusé de m'adresser la parole an prétextant que j'écrivais des "mensonges" sur les "salariés de l'ambassade d'Israël en France" qui "ne soutenaient pas comme je l'affirmais une exposition anti-israélienne". Il a déclaré qu'il ne parle pas à une "emmerdeuse". Je me suis insurgée SEULE contre cette insulte. Pendant cinq à dix minutes, j'ai interpelé les orateurs - Eric Marty, Jacques Tarnero et Renaud Girard -, le modérateur, l'UEJF et le public pour savoir s'ils trouvaient normal qu'on injurie une journaliste, une femme. Seuls quelques spectateurs ont exprimé leur soutien à mon égard. Finalement, le président de l'UEJF-Sciences Po est venu vers moi pour dire qu'il ne soutenait pas le comportement de Guy Konopnicki. Celui-ci m'a finalement présenté des excuses, que j'ai acceptées. On peut refuser de parler à une journaliste, mais on ne doit pas l'insulter ou l'injurier.
Quant aux expositions anti-israéliennes soutenues par cette ambassade, il suffit de cliquer sur les liens mis dans mon article et de voir le logo de cette ambassade, qui est le logo du ministère israélien des Affaires étrangères, sur les affiches pour vérifier la véracité de mes écrits. http://www.veroniquechemla.info/2012/06/la-problematique-ambassade-disrael-en.html
Ce soir lors de la conférence de l'UEJF "Israël/Palestine : une passion française" à Sciences Po, Guy Konopnicki a refusé de m'adresser la parole an prétextant que j'écrivais des "mensonges" sur les "salariés de l'ambassade d'Israël en France" qui "ne soutenaient pas comme je l'affirmais une exposition anti-israélienne". Il a déclaré qu'il ne parle pas à une "emmerdeuse". Je me suis insurgée SEULE contre cette insulte. Pendant cinq à dix minutes, j'ai interpelé les orateurs - Eric Marty, Jacques Tarnero et Renaud Girard -, le modérateur, l'UEJF et le public pour savoir s'ils trouvaient normal qu'on injurie une journaliste, une femme. Seuls quelques spectateurs ont exprimé leur soutien à mon égard. Finalement, le président de l'UEJF-Sciences Po est venu vers moi pour dire qu'il ne soutenait pas le comportement de Guy Konopnicki. Celui-ci m'a finalement présenté des excuses, que j'ai acceptées. On peut refuser de parler à une journaliste, mais on ne doit pas l'insulter ou l'injurier. Quant aux expositions anti-israéliennes soutenues par cette ambassade, il suffit de cliquer sur les liens mis dans mon article et de voir le logo de cette ambassade, qui est le logo du ministère israélien des Affaires étrangères, sur les affiches pour vérifier la véracité de mes écrits. http://www.veroniquechemla.info/2012/06/la-problematique-ambassade-disrael-en.html.