Content de te l'entendre dire, Janine.
Ce matin, je me trouvais dans le RER à La Défense, très énervé à cause d'un enième problème de train.
Je suis passé négligemment à côté d'un relais H, où toutes sortes de journaux et magazines se trouvaient exposés.
D'habitude, je n'éprouve guère d'intérêt pour les portraits exposés, qui sourient tous de la même manière, d'une manière convenue et impersonnelle.
Mais là, j'ai été proprement ébloui par la couverture du magazine "Elle à Paris", pourtant petit format.
Et pour cause : cette couverture affichait le beau visage si tendre de Natalie, en raison d'une interview qu'elle avait accordée (au portable, en marchant dans la rue...) à ce magazine. Une interview repoduite pages 72 à 75.
C'est incroyable de voir comment son joli visage détonnait parmi toutes ces faces artificelles de mannequins, starlettes et autres femmes-objets. Un rayonnement à la mesure de sa personnalité incomparable.
Je sais que cela peut sembler fou, voire ridicule, mais j'avais l'impression que son regard se posait sur moi et sur les gens, comme avec affection, tendresse et considération. Comme si elle cherchait plus à s'intéresser aux gens qu'à susciter leur intérêt.
Mais n'est-ce pas cela, justement, le fond de son esprit ? Se soucier du sort des autres plus que du sien.
C'est idiot, je sais, mais grâce à elle, je me sens aujourd'hui plus aimé.
Chère...chère Natalie...