scandale au vatican

Dans le même genre de références il y a au nom d'anna dans lequel le rabbin n'hésite pas a faire venir une chorale gospel pour mettre un peu d'ambiance dans sa synagogue!

Il était d'usage que l'adulte se faisait respecter par la force et obtenait gain de cause en faisant de l'enfant son souffre douleur.
L'enfant, devenu adulte reprenait à son compte l'exemple du parent pour
avoir hérité de la même perversité. ( monnaie courante à l'époque )
Pendant longtemps, ce système de " dressage " et non d'éducation faisait
que la victime puisse devenir bourreau à son tour dans un enchaînement parfait.
Le sadomasochisme depuis, est devenue une institution dont le chantage
affectif, la punition blessant les sentiments a su remplacer les châtiments
corporels. On ne parle plus autant de maltraitance physique, mais la
maltraitance psychique et émotionnelle, reste toujours sournoisement en
vigueur.

jacqueline a écrit:

Il était d'usage que l'adulte se faisait respecter par la force et obtenait gain de cause en faisant de l'enfant son souffre douleur.
L'enfant, devenu adulte reprenait à son compte l'exemple du parent pour
avoir hérité de la même perversité. ( monnaie courante à l'époque )
Pendant longtemps, ce système de " dressage " et non d'éducation faisait
que la victime puisse devenir bourreau à son tour dans un enchaînement parfait.
Le sadomasochisme depuis, est devenue une institution dont le chantage
affectif, la punition blessant les sentiments a su remplacer les châtiments
corporels. On ne parle plus autant de maltraitance physique, mais la
maltraitance psychique et émotionnelle, reste toujours sournoisement en
vigueur.

je crois que tu as raison ; ces bonnes soeurs devaient faire à autrui ce qu'on leur avait fait. L'éducation dans certains milieux n'étaient pas tendres, le fouet tombait plus souvent qu'à son tour.

Guiti,

Oui, le changement est arrivé par la peur du fameux " complexe d'infériorité " tant décrié par les psychologues américains.

Du coup, ce fut une génération de parents sacrifiée, car de victimes
qu'ils furent enfants, ils le restèrent avec la crainte de mal faire
avec leurs gosses qu'ils se gardaient bien de traumatiser comme
eux-mêmes l'avaient été.

De sorte qu'ils n'ont pas appris à mieux faire finalement, en étant
trop tolérants avec leur progéniture.

Etant éducatrice à l'époque, j'ai suivi cette affaire de très près,
car c'était déjà les prémices de " l'enfant roi " qui fut une proie
facile pour un nouveau marché qui n'a fait qu'emplifier depuis.