Parachat Shla'h lekha

Shabbat du 21 juin -
par Yossef Attoun, Rabbin
Parachat Shla'h lekha

En vidéo durée 41 minutes
http://www.akadem.org/sommaire/series/module_2389.php
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Shlakh, Shelakh, ou Shlakh Lekha (שלח ou שלח לך — héb. “envoie [pour toi],” ) est la 37ème section hebdomadaire du cycle annuel de lecture de la Torah et la quatrième du Livre des Nombres
Elle correspond à *Nombres 13:1–15:41. Les Juifs de la Diaspora la lisent généralement en juin.

Résumé http://fr.wikipedia.org/wiki/Shlakh

Dieu accède à la demande[1] du peuple d'envoyer des explorateurs, un par tribu, afin de faire un rapport sur la terre promise aux enfants d'Israël. Cependant, ceux-ci, à l'exception de Caleb ben Yefouné et Josué bin Noun, en estiment la conquête impossible. Le peuple se lamente, proteste contre Moïse, Aaron, Caleb et Josué, et menace de les lapider. Dieu veut alors exterminer le peuple et le remplacer par une nation issue de Moïse, lequel plaide leur cause et obtient leur grâce; cependant, la génération actuelle devra errer dans le désert, et ne pas entrer dans la terre promise, à l'exception des seuls Caleb et Josué.
Dieu prescrit ensuite les lois des prélèvements agricoles à accomplir en terre d'Israël. Un homme, qui profane le Sabbath est lapidé. Dieu prescrit alors le port des tzitzit, afin de se souvenir des mitzvot, et de ne pas s'en détourner[2].

Divisions de la parasha lors de la lecture complète [modifier]

La lecture de la parasha à la synagogue le sabbath est traditionnellement divisée en sept sections, pour lesquelles un membre différent de la congrégation est appelé à lire. La première lecture, le rishon, échoit traditionnellement à un cohen, la seconde, appelée sheni, à un levi, les suivantes à un israël (ni cohen ni levi). La septième section comporte une sous-section, le maftir, qui est lu par la personne qui lira ensuite la haftara.

Citation :

Si Cosmos est disposé, vous en saurez plus concernant cette parasha.

L´interêt de cette parashah n´est pas sans rapperler l´époque actuelle de ces 40 dernières années.
Car ce qu´oublie de dire le commentateur là dedans, c´est que certes Israel ne voulu pas monter à la conquête du pays depuis Kadesh Barnéa suite au rapport démoralisant des 10 espions et a voulu lapider Moise et Aaron mais qu´ensuite le peuple regrettant sa décision monta malgré tout à la conquête du pays contre l´ordre de Dieu et il fut mis en totale déroute.

En 1967 Dieu avait mis dans les mains d´Israel toute la puissance pour faire face à ses ennemis. Israel y a fait face mais n´a nullement exploité cette victoire en faisant des territoires conquis, une véritable partie intégrante de l´état d´Israel.
Donc les élucubrations désormais plus que tardive tardives ou dénuées de toute reflexion politique des orangiste et autres huluberlus du même type de s´accrocher à tel bout de colline par ci, ou à tel bosquet d´olivier par là afin de conserver les territoires, mènera Israel exactement à la même totale déroute.
Déroute qui est déjà bien entamée d´ailleurs si l´on n´en juge rien que par les tristes succès de ces dernières années de la politique israélienne dans les territtoires.
Les territoires sont perdus depuis le lendemain même de la guerre des 6 jours quand Israel n´a pas décidé d´en faire de véritables territoires israéliens exactement comme la conquête du pays autrefois fut avant même de commencer, complètemenet avortée. Toute initiative ultérieure allant à contre sens de celà ne pouvait être que synonyme d´échec. Et ce fut bien le cas.
Il en sera de même de nos jours pour le même genre d´erreur. A souhaiter qu´a la place des 40 ans d´errances dans le désert, on ait pas droit cette fois ci à encore 400 ou 4000 ans d´exil.

je crois me souvenir qu'Israël n'en voulait pas des territoires, à l'époque - les territoires contre la paix, mais les arabes voulaient les territoires, pas la paix. Ils n'ont jamais voulu la paix, ce qui fait qu'au fur et à mesure que changeaient les gouvernements, on s'adaptait au refus arabe.
Jérusalem et le Golan ont été annexés, pas les territoires sur lesquels sont construites les implantations.
Et il faut avouer que la politique à ce sujet n'est pas très claire.
Le rabbin Ovadia Yossef a dit successivement que rendre les territoires contre la paix ça valait le coup, et ensuite il a dit le contraire. En fait, au début, que la vie des Juifs valaient plus que la terre. (il s'agissait de Gaza à l'époque je crois)

Citation :

je crois me souvenir qu'Israël n'en voulait pas des territoires,

Exactement comme autrefois le peuple prêt à conquérir le pays ne voulu pas le conquérir.

Citation :

mais les arabes voulaient les territoires, pas la paix.

ce que voulait ou ne voulait pas les arabes importait peu il n´avaient plus voix au chapitre et n´avaient pas à en avoir.