«Depuis trente ans, James Baker est l'âme du lobby anti-israélien à Washington. Intérêts financiers, obsessions et manigances. Comment définir le "rapport Baker" ? Un monument de perfidie ? Un chef d’oeuvre de sottise ? L’apothéose d’un gentleman cynique et borné ? On a l’embarras du choix. » (M. Gurfinkiel). Une fois de plus, M. Gurfinkiel, fait la démonstration de ses qualités exceptionnelles d’analyste politique et géopolitique. Cet article m’apparaît comme magistral et séminal. Sa longueur ne doit pas dissuader les internautes de le lire attentivement et de le diffuser largement. Leur effort sera amplement récompensé par l’information incomparable que fournit l’auteur, familier des rouages de la politique américaine et de ses querelles intestines, concernant les conséquences catastrophiques qu’aurait eues sur l’intégrité nationale et la sécurité d’Israël, le retour aux affaires du Moyen-Orient de Baker, l’ami inconditionnel des monarchies pétrolières arabes, prêt à sacrifier Israël, son ennemi intime, sur l’autel du dieu "énergie", comme le firent, dans d’autres circonstances, les démocraties occidentales, de la Tchécoslovaquie, en 1938. (Menahem Macina).
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