20 maghrebins contre un juif !!

La rue de Paradis, n'est-elle pas la rue de la vaisselle de table en porcelaine
si j'ai bonne mémoire ?

georges972 a écrit:

COSMOS a écrit:: Le Bd de Strasbourg c´est vrai, tout le long ce ne sont que des boutiques noires. Beaucoup de faiseurs de tresses.

C'est normal, c'est le centre francais de la coiffure et de ses accessoires.
Un autre coin du Xe c'est une rue dont je ne me rappelle plus le nom et qui est le centre francais de la porcelaine et de la faience.

Josette,

Mes parents avaient un magasin au Faubourg Saint Denis, mais au dessus
de la Gare du Nord.
Et au Boulevard de Strasbourg, au Chateau d'Eau se trouvait le Betar que je frequentais assidument (je crois que c'est toujours son adresse) Laughing

Georges c'était rue de paradis ma mémé habitait le 31 et au 33 exactement il y avait baccarat où la femme du Shah d'Iran venait acheter, dans la rue il y avait plein d'autres magasins de porcelaine, par contre ça fait tellement longtemps que j'y pas allée que je sais pas si ça existe encore

J'ai regarde sur le net, ca existe toujours, ce centre de la porcelaine et de la faience.

Je floode dans le hors sujet: la rue Paradis, à Marseille, c'était le siège de la Gestapo.

Mais peut être n'est ce pas tout à fait hors sujet!

Et un crime au paradis...
c'était un film d'amour entre Josiane Balasko et Jacques Villeret.

Cormo,

Je crois que la rue Paradis a Marseille est la rue la plus longue de France.
J'ai du m'y rendre en 1980 au consulat d'Israel qui se trouvait aux alentours du no. 450. J'ai donc pris un taxi a la gare, et on a roule au moins une heure. Et je ne crois pas qu'il m'ait balade.

C'est vrai que cette rue est trés longue. Le cinéaste Henri Verneuil, dans les deux films qui racontent son enfance (Mayrig, et 588 rue Paradis) explique que les premiers numéros étaient populaires et plébéiens, et que plus on montait dans cette rue, plus on s'élevait dans l'échelle sociale.

La Gestapo marseillaise y avait établi ses locaux, au n°425, dans la partie haute et huppée. C'est là que paradaient les bandits Spirito et Carbone, sbires de la Gestapo (qui ont été blanchis, au cinéma, avec les films Borsalino, avec Delon et Belmondo). Ces deux sbires donnaient des fêtes où même Tino Rossi est venu chanter.

Anecdote, trop belle pour être fausse: un gestapiste marseillais, d'origine corse, avait trés envie de posséder un pistolet Colt américain. Il en a parlé à un cousin, qui était, lui, dans la résistance.
L'autre lui a dit: "au prochain parachutage, je te le fais avoir!"

A la libération, trés peu d'épuration dans le Milieu corse, entre cousins, on ne va pas se faire de misères. lol!

http://pagesperso-orange.fr/pierre.denis/chrono3/chrop031.html

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