un bus rien que pour les femmes

Iran : Un bus rien que pour les femmes
06.01.2007



Selon l’agence officielle Mehr, la première ligne de bus pour femmes a été inaugurée à Téhéran. Cette ligne a embauché une femme qui conduira les autres femmes dans un unique bus au trajet inconnu.



La première femme chauffeur de bus à Téhéran a donc commencé son service dans la matinée du 3 janvier 2007. Le directeur de la compagnie de bus de Téhéran et de sa banlieue a dit que cela entrait dans le cadre d’un plan spécifique de développement des transports en commun « pour faciliter les déplacements des femmes » !

Projet aberrant et fantasque même dans le cadre de la discrimination sexuelle déjà appliquée : comment se déplaceront les femmes mariées ou encore les membres d’une même famille, qu’en sera-t-il dans le métro ? Comment un seul bus peut-il répondre au besoin d’une ville de 7 millions d’habitants ?

Du grand n’importe quoi made in mollah-land.

WWW.IRAN-RESIST.ORG
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ne rigolez pas! c'est parfaitement possible à mea shearim aussi

oui, non, ce que l'article oublie, que j'ai lu par ailleurs et peut être sur le même site, c'est que les mecs mettent leurs mains partout, sitôt qu'ils voient un tchador, ce sont des grands frustrés.
En France, dans le métro parisien, seuls les dingues agissent ainsi, le français est habitué à voir la viande des femmes.
Le genre "je mets mes mains partout et plus même si pas affinités", on le voit dans certaines banlieues françaises. Il y a eu une émission télé sur le sujet.

Alors après le tchador, c'est le wagon spécial. Comme pour les juifs pendant la guerre en France, le dernier wagon nous était réservé.

ouverture d'un nouveau traiteur dans mon quartier, express quelque chose , un menu des plus allechants, tout petit en haut, la mention "hallal".


en parlant de mains baladeuses, j'ai mis en garde steph contre ces petites mains qui vous tâtent mine de rien

la premiere fois que cela m'est arrivé et j'en ressens encore la brûlure de mes joues et de mon front, de honte, c'etait dans le tram de Tunis je devais avoir 12 ans et j'allais au lycée de jeunes filles armand falières.
c'etait une gene indicible et la peur de protester à voix haute


la deuxieme fois , j'avais 15 ans , j'allais au lycée Montgrand à marseille, j'etais rue de breteuil et 2 maghrebins qui venaient en face de moi sur le trottoir se sont permis un geste deplacé, là aussi la brulure de la honte et la rage de ne rien pouvoir faire