Tout le monde sait l’impact de l’image par rapport au texte, et c’est du reste là le filon de Paris Match. J’ai voulu comprendre par quel mécanisme les nazis d’aujourd’hui réussissent à se faire passer pour des victimes aux yeux des braves gens. Il suffit à ces idéologues de la haine et du mépris de la vie humaine de remuer la sensibilité des gogos.
Par quel mécanisme, une organisation terroriste totalitaire, sous le pouvoir duquel nul d’entre nos gogos et des idiots utiles de la cause palestinienne n’aimerait vivre, réussit à discréditer le pays qu’il se donne pour objectif de détruire et d’en éradiquer la population non-musulmane ?
Ce n’est pas tant en recourant à la propagande directe qu’en passant par le canal de journaux et magazines apparemment «neutres» et «objectifs» que la «cause palestinienne» peut exploiter la crédulité, pas toujours désintéressée, des journalistes et atteindre les gogos. C’est là que l’image extraite du contexte agit directement sur l’émotion alors que le texte exigerait une capacité de lecture, de réflexion et d’analyse qui n’est pas à la portée de tout un chacun.
http://www.libertyvox.com/article.php?id=375