remettre les textes dans leur contexte ; mais nous ne connaissons ces textes que parce que les musulmans les collent sur internet. J'ai lu le coran, et ensuite je l'ai jeté, je ne me souviens même plus de ce que j'ai lu. Et je n'ai pas été choquée, parce qu'en effet, j'ai remis les choses dans leur contexte.
Mais quand les musulmans récitent à longueur d'année le machin sur l'arbre aux juifs, ou se gargarisent des massacres de tribus juives, on peut légitimement penser qu'eux, au moins ne remettent rien dans le contexte de l'époque. Les faits et gestes de Mahomet sont copiés par ses croyants, même le mariage avec des enfants.
Alors nous pouvons nous interroger sur cette religion, et surtout sur ses fidèles ; nous pouvons nous interroger sur le sort de la femme juive prisonnière des musulmans, si par malheur cela arrivait, après une bataille où les siens auraient perdu la vie. Mahomet dans ce cas a épousé la belle juive, qui a tenté de le tuer. Mahomet était responsable de la mort de son père, de son mari, de sa tribu. Et Mahomet a voulu la violer.
Par contre, la Thora, quelques milliers d'années auparavant, avait déjà statué sur les femmes prisonnières après une bataille, le passage s'appelle "la belle captive" :
la "belle captive".
Le combattant qui capture, au cours d'une campagne, une femme de belle apparence doit savoir que la Tora lui interdit d'oublier qu'il s'agit là, avant tout, d'un être humain : "Tu l'amènera dans ta maison. Elle se rasera la tête, se coupera les ongles, retirera son vêtement de captive et demeurera dans ta maison. Elle pleurera son père et sa mère un mois entier et seulement après, tu pourras l'approcher et la posséder et elle sera ta femme. Si, ensuite, tu n 'en veux plus, tu devras la laisser partir libre de sa personne mais tu ne la vendras pas a prix d'argent. Tu ne l'exploiteras pas après avoir abusé d 'elle, car elle a suffisamment souffert"
(Deutéronome, XXI, 12- 14).
- Citation :
- Mahomet ramena de cette guerre deux belles captives, Safia, la fille de son ennemi implacable Houyey, et Zaïnab, la sœur de Marhab. Cette dernière essaya de se venger de celui qu’elle regardait comme le meurtrier de son frère et de ses coreligionnaires. Dissimulant ses sentiments de haine, elle feignit un profond attachement pour Mahomet et gagna ainsi sa confiance. Un jour, elle servit de la viande empoisonnée ; un des convives en mourut. Mahomet, trouvant au mets un goût désagréable, le rejeta. Interrogée par le prophète sur le motif de ce crime, Zaïnab lui répondit : Tu as fait endurer de cruelles souffrances à mon peuple ; je me suis dit que si tu n’étais qu’un vulgaire despote, ta mort serait une délivrance pour mon peuple ; serais-tu, au contraire, prophète, alors mon poison n’aurait aucune action sur toi. Elle fut exécutée. A la suite de cet incident, Mahomet ordonna à ses soldats de ne se servir de la vaisselle enlevée aux Juifs qu’après l’avoir trempée dans de l’eau bouillante.
http://www.histoiredesjuifs.com/articles.php?lng=fr&pg=387
Entre le commandement de la Thora, et l'acte de Mahomet, il y a environ 4900 ans - la Thora, c'est environ l'âge du bronze ancien.
Et voyez déjà la différence de mentalité envers les femmes. On peut donc imaginer que près de 5.000 ans après, les rabbins auraient encore adouci le sort des prisonnières.
Elle (la Thora) fait dans ce cas précis une concession à l'instinct du mal pour mieux le combattre et permettre à l'homme de venir à bout de ses penchants naturels.
http://www.col.fr/ateret/livres/kitese1.htm
Mais Mahomet n'était-il pas prophète, et comme tel, devait-il libérer ses instincts naturels?
http://www.histoiredesjuifs.com/articles.php?lng=fr&pg=387