en traduction automatique
http://www.terrorismawareness.org/news/162/how-nakba-proves-theres-no-palestinian-nation/
Au cours des dernières années, le terme est devenu le terme préféré du lobby anti-Israël. Signifiant «catastrophe» en arabe, il a été adopté par les antisémites partout sur la planète et se réfère à la création d'Israël, qui soi-disant a imposé une «catastrophe» aux "arabes palestiniens privés de leurs droits."
Bien entendu, la véritable catastrophe qui s'est abattue sur les Arabes en 1948-49 est qu'ils ont échoué dans leur tentative d'annihiler Israël et d'exterminer sa population, et pour cela ils ont payé le prix.
Pendant ce temps, ce non-sens qu'est- la Nakba s'est propagé. Google trouve plus de 85.000 pages web faisant référence à la création d'Israël comme une "Nakba", et une recherche Yahoo trouve même plus que cela. Le magazine Web anti-israélien Counterpunch ne peut mentionner Israël sans utiliser le terme. Même le ministre de gauche israélien de l'Éducation, Yuli Tamir, a que la nakba soit enseignée dans les dans les écoles israéliennes, où les élèves d'Israël apprennent à faire le deuil de leur propre pays.
(Tamir, qui était auparavant un professeur d'éducation à l'Université de Tel-Aviv, est si bizarre que, dans l'été de 1996, elle a publié un article dans la revue de Boston afin de défendre l'excision dans le Tiers Monde et de dénoncer ceux qui ont exprimé le dégoût de la pratique - voir http://bostonreview.net/BR21.3/Tamir.html.)
Les cérémonies de la Nakba se tiennent désormais chaque année par des professeurs gauchistes dans les universités israéliennes qui pleurent la création et l'existence de leur pays.
La nakba de la fin des années 1940 et 1950 qui a frappé un grand nombre de Juifs vivant dans les pays arabes qui ont été subitement expulsés, persécutés, et dépouillés de leurs biens, n'intéresse pas ces gens-là. Ces réfugiés juifs sont, en Israël, plus nombreux que les palestiniens qui ont fuit en 1948.
Pendant ce temps, une légende urbaine a été fabriqué sur l'origine du terme «nakba» - un conte de fées qui prétend le mot était une bannière agité par des Palestiniens à partir de 1948, et que son usage même montre à quelle profondeur sont ancrées les racines de la "nationalité palestinienne" .
Alors voici un petit quiz d'actualité: Quelle est la véritable origine du terme «nakba» et quel est son sens original?
si vous dites qu'il fait référence aux événements de 1948 - vous êtes en très bonne compagnie. J'aurai échoué au test, jusqu'à il ya quelques jours, quand je suis tombé sur la bonne réponse.
La source qui fait autorité sur l'origine de la "Nakba" n'est autre que George Antonius, censé être le premier historien officiel du nationalisme palestinien. "Comme tant d'autres" Palestiniens ", il n'est pas palestinien. C'était un chrétien libano-égyptien qui a vécu pendant un certain temps à Jérusalem, où il composa son plaidoyer en faveur officielle / histoire du nationalisme arabe. Le Réveil Arabe, un livre très partisane, a été publié en 1938 et des années plus tard, c'est le texte officiel utilisé dans les universités britanniques.
Antonius était un «représentant officiel palestinien" en Grande-Bretagne, en essayant de faire valoir la cause de la création d'un Etat arabe en place d'une patrie prospective promis aux Juifs par la Déclaration Balfour de 1917. Antonius 1930 a été un propagandiste antisioniste actif, et en tant que tel a reçu un poste à l'Université de Columbia (où certaines choses ne semblent pas changer beaucoup).
Il a servi en tant que feuille de vigne universitaire pour les nationalistes arabes xénophobes qui cherchent à nier les Juifs tout droit à l'autodétermination ou la migration vers la Terre d'Israël. Et il était étroitement associé avec le Grand Mufti, principal allié d'Hitler islamique, et aussi avec le régime pro-allemands en Irak dans le début des années 1940.
Antonius était si passionnément antisioniste qu'il continue à servir comme le héros et mentor de la communauté juive de gauche anti-sionistes partout. Par exemple, la fin de l'Université hébraïque, professeur de sociologie Baruch Kimmerling invoqué Antonius en détail dans son propre pseudo-histoire, les Palestiniens: Le Making of a People (Free Press, 1993).
Antonius nous fournit l'origine du terme «nakba»; Le terme n'a pas été inventé en 1948 mais plutôt en 1920. Et il a été créée non pas parce que tout d'un coup de Palestiniens étaient nationalistes, mais parce que les Arabes vivant en Palestine se considéraient comme syrien et ont été furieux d'être coupés de leur patrie syrienne.
Avant la Première Guerre mondiale, tout le Levant - y compris ce qui est aujourd'hui Israël, les territoires «occupés», la Jordanie, le Liban et la Syrie - se composait de colonies ottomanes turques. Lorsque les forces alliées ont battu les Turcs du Levant, les deux puissances principales, la Grande-Bretagne et la France, a divisé le butin entre eux. Grande-Bretagne obtint la Palestine, y compris ce qui est aujourd'hui la Jordanie, tandis que la France a obtenu le Liban et la Syrie.
Le problème était que les Arabes palestiniens se considéraient comme Syriens et étaient considérés comme tels par d'autres Syriens. Les Arabes palestiniens étaient furieux qu'une barrière artificielle a été en cours de construction au sein de leur patrie syrienne par les puissances coloniales infidèles - celle qui diviserait les Arabes syriens du nord du sud Arabes syriens, ces derniers étant ceux qui ont plus tard été mal nommée "Palestiniens".
La majeure partie des Arabes palestiniens avait en effet migré vers la Palestine de la Syrie et le Liban au cours des deux générations précédentes, en grande partie à bénéficier de l'amélioration des conditions et des possibilités d'emploi offertes par l'immigration sioniste et les capitaux qui se jettent dans la région. En 1920, les deux ensembles d'Arabes syriens, ceux de Syrie et ceux de Palestine, ont déclenché une émeute violente et meurtrière.
Sur la page 312 de Le Réveil Arabe, Antonius écrit: «L'année 1920 a un nom dans les annales arabes mal: il est fait référence à l'Année de la Catastrophe (Am al-Nakba). Il a vu l'premiers soulèvements armés qui ont eu lieu pour protester contre le règlement de l'après-guerre imposée par les Alliés sur les pays arabes. Cette année-là, de graves flambées ont eu lieu en Syrie, en Palestine et en Irak. "
Oui, la réponse à notre petit quiz est 1920, pas 1948. C'est 1920 - alors qu'il n'y avait pas d'Etat sioniste, pas de la souveraineté juive, pas de colonies de peuplement "dans les" territoires occupés ", pas des Forces de défense d'Israël, pas de missiles israéliens et hachoirs l'intention des dirigeants de terreur, et aucun contrôle juif sur Jérusalem (qui avait une population juive la majorité remonte au moins à 1850).
L'original "nakba" n'avait rien à voir avec les Juifs, et rien à voir avec la demande par les Arabes palestiniens à l'autodétermination, l'indépendance et à un État. Au contraire, il avait tout à voir avec le fait que les Arabes palestiniens se considéraient comme des Syriens. Ils se sont révoltés à cette nakba - à cette catastrophe, parce qu'ils ont trouvé profondément insultants l'idée même qu'ils devraient être indépendants de la Syrie et des Syriens.
Dans les années 1920, la suggestion que les Arabes palestiniens constituaient une nationalité ethnique distinct suffisait d'envoyer ces mêmes Arabes dans les rues d'assassiner et piller violemment en colère. S'ils se insisté sur le fait qu'ils étaient simplement des Syriens qui avaient migré vers la Terre d'Israël, par quelle logique les Arabes palestiniens sont réputés en droit de leur propre Etat aujourd'hui?
Les Arabes palestiniens ne sont pas plus une nation et non plus droit à leur propre Etat que sont les Arabes de Détroit ou de Paris. Ils ne sont certainement pas droit à quatre états différents: la Jordanie, le Hamastan à Gaza, un état de l 'OLP en Cisjordanie, Israël et convertis en un autre Etat arabe via l'octroi d'un «droit au retour" des réfugiés arabes.
Parlant des Palestiniens que les Syriens, il est intéressant de noter ce que l'un des premiers nationalistes syriens avait à dire. La citation suivante vient du grand-père du dictateur actuel syrien, Bachar al-Assad:
«Ces bons Juifs apporté la civilisation et de paix pour les musulmans arabes, et ils se sont dispersés d'or et la prospérité sur la Palestine sans dommage à quiconque ou de prendre quoi que ce soit par la force. Malgré cela, les musulmans a déclaré la guerre sainte contre eux et n'ont pas hésité à massacrer leurs enfants et les femmes .... Ainsi, un destin noir attend les Juifs et autres minorités dans le cas où les mandats sont annulés et la Syrie musulmane est unie avec des musulmans en Palestine. "
Cette déclaration fait référence à une lettre envoyée au Premier ministre français en Juin 1936 par six notables syriens alaouites (les Alaouites sont la classe dirigeante en Syrie d'aujourd'hui) en faveur du sionisme. Le -grand-père de Bachar était l'un d'eux.
Accueil 
Jeu 29 Avr - 12:05
