La famille Chirac a, par le passé, bénéficié de certaines largesses de M. Hariri, ont raconté, dans un livre, les journalistes français Eric Aeschimann et Christophe Boltanski. (Chirac d'Arabie, Grasset, 2006). Le 25 février, lors d'une cérémonie à l'Institut du monde arabe à Paris en mémoire de Rafic Hariri, M. Chirac avait loué l'"homme d'Etat visionnaire" dont la disparition laisse une "blessure inguérissable".
c'est ce que l'on appelle "prise d'intérêt", non? comment pouvait-il, Chirac, juger de manière juste Israël, alors qu'il recevait des cadeaux d'un ministre libanais?