Un autre son de cloche :
Les dernières joutes verbales à la Commission Européenne laisseront des traces indélébiles... mais surtout en France. Les hiérarques européens n’en ont déjà plus le souvenir.
Seuls les journalistes appointés par leurs médias respectifs en rajoutent pour justifier leur temps d’antenne.
Viviane Reding, vice-présidente de la Commission européenne, Commissaire à la Justice, aux droits fondamentaux et à la citoyenneté, a adressé ses excuses à l’État français.
Elle avait affirmé que "le traitement réservé aux Roms par les autorités françaises n'avait pas d'équivalent en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale".
Comparaison légèrement hâtive que celle-ci !
Il y a 65 ans environ, les juifs ne recevaient pas d’argent pour quitter le territoire français et on ne les renvoyait pas dans leur pays d’origine, puisque de pays d’origine, ils n’avaient pas.
L'Europe les livrait aux nazis qui les gazaient après avoir, de surcroît, confisqué tous leurs biens au grand bénéfice, notamment, de la Caisse des Dépôts et Consignations, actuelle propriétaire, entre autres, d'une grande marque de restauration rapide.
Tout occupés à stigmatiser la “politique raciste de la France”, les médias ne se sont pas interrogé sur le racisme et la xénophobie qui règnent dans les anciens pays de l’Est vis-à-vis des Roms.
Roumanie et Hongrie sont des pays d’Europe qui aident des haines ancestrales à prospérer sur leurs territoires. Juifs et Roms ont souvent été traités en parias dans ces sociétés-là.
http://www.primo-info.eu/selection.php?numdoc=Ed-545898400