André Gérôme Gallego, un ami d'Israel

La barbarie n’a pas de visage…Par André Gérôme Gallego
Non, la barbarie n’a pas de visage, de frontière, ni de religion.

On peut la rencontrer à Toulouse quartier Saint-Michel ou au cœur de Montpellier avec l’assassinat, ici et là, de deux gamins à qui la vie souriait. Deux gamins sans histoires, des modèles même pour les autres adolescents de leurs âges, victime de crapules, de lâches sans aucune âme.

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ce qui étonne en fait, c'est que ces arabo-musulmans en assassinant des enfants en bas âge, agissent comme à l'époque du début du Coran, ou de la conquête de la Judée par les hébreux - comme des sauvages ; autre temps, autres moeurs.
Mais peut être pas ; toutes les guerres ont leurs lots d'horreurs la Shoah en a été le summum ; pourquoi demander à ces gens sans culture, qui ne connaissent de lecture que le Coran qu'ils apprennent par coeur, de mieux se conduire que les russes en Tchetchenie, ou les allemands dans le ghetto de Varsovie?
le Ghetto, c'était il y a une soixantaine d'années - la Tchétchénie est encore fraîche dans nos mémoires.
En Afrique on viole même les bébés.
L'humanité est ce qu'elle est, la religion aurait dû freiner l'Homme dans ce qu'il a de pire, mais il faudrait pour ça une religion qui demande à ses fidèles de réfléchir par lui même.

Moi je propose des séparations, que "les autres" vivent comme ils veulent, qu'ils n'exportent pas leur culture de mort et de merde - j'espère que l'Europe a compris que la paix était plus importante que tout, plus importante surtout que le nationalisme et la religion.