Tous les ecrits de l'auteur (Pierre Lurcat) puent l'exaltation ultra-nationaliste et anti-democratique. Cette vilaine attaque contre David Grossman, faisant un parallele nauseabond entre un ecrivain allemand qui vient de montrer que son antisemitisme ne se resumait pas seulement a son appartenance aux Waffen-SS dans sa jeunesse a un ecrivain israelien qui perdit son fils durant la Seconde Guerre du Liban prouve amplement ce que ce Monsieur n'est, au plus, qu'un vulgaire denonciateur et chasseur de sorcieres.