l'uoif dans le collimateur de valls

COSMOS a écrit:

Citation :

Dans une claire allusion à l'Union des organisations islamiques de France (UOIF), le ministre a indiqué qu’il n’accepterait pas la présence en France de « soi-disant théologiens, qui prônent, que ce soit avec des mots durs ou avec des mots doux, la haine du juif » et estimé qu’il « était temps » pour « les organisations qui les invitent » de « changer d’attitude » et de « respecter les lois de la République ».

Le message est plus que clair et parfaitement justifié. vals est encore trés cool, moi je serai pour manu militari l´interdiction de UOIF.

Tout à fait d'accord mais moi je serai en plus pour interdire la littérature à laquelle se réfère l'UOIF.

casasport a écrit:

georges972 a écrit:

Mais pourquoi vouloir considerer le CRIF comme une espece de pieuvre tentaculaire, tandis que l'UOIF ne serait qu'un amassis de doux cretins?

Le CRIF n'est pas une pieuvre tentaculaire. Le CRIF c'est "l'idiot utile" de ceux qui veulent taper sur Israel !

Citation :

Le CRIF n'est pas une pieuvre tentaculaire. Le CRIF c'est "l'idiot utile" de ceux qui veulent taper sur Israel !

Moi je tape sur Vals, notre ministre de l'intérieur sur ce fil d’être un personnage communautaire.

Paradoxalement, ici la plupart tapaient sur la gauche et voila que je tape sur un homme politique de Gauche et pas une seule intervention de cette majorité de droite sur ce forum contre cet homme politique de Gauche.

Bizarre!

Jacky a écrit:

Tout à fait d'accord mais moi je serai en plus pour interdire la littérature à laquelle se réfère l'UOIF.

La littérature d´une certaine interprétation de l´Islam, pourquoi pas car c´est surtout ce genre de littérature qui est vraiment néfaste et elle est très abondante dans ces milieux sectaires sous forme de petits fascicules accrocheurs, très bien présentés, pratiques et faciles à lire.

En revanche, certainement pas le Coran. Interdire le Coran serait tout aussi ridicule que l´interdiction des contes des milles et une nuits dans une bibliothèque municipale comme l´avait prôné à une époque un maire d´extrême droite. (sans y parvenir d´ailleurs.....)

COSMOS a écrit:

Jacky a écrit:

Tout à fait d'accord mais moi je serai en plus pour interdire la littérature à laquelle se réfère l'UOIF.

La littérature d´une certaine interprétation de l´Islam, pourquoi pas car c´est surtout ce genre de littérature qui est vraiment néfaste et elle est trés abondante dans ces milieux sectaires sous forme de petits fascicules accrocheurs, trés bien présentés et facile et pratique á lire.

En revanche, certainement pas le Coran. Interdire le Coran serait tout aussi ridicule que l´interdiction des contes des milles et une nuits dans une bibliothèque municipale comme l´avait prôné à une époque un maire d´extrême droite. (sans y parvenir d´ailleurs.....)

J'ai lu les comtes de mille et une nuits il y a très longtemps, je ne me souvient plus des passage ou l'on appel au meurtre. Ou les héros sont des assassins qu'il faut vénérer?

adm-janine a écrit:

il est aussi impensable d'interdire la lecture du coran autant qu'il serait impensable d'interdire la lecture de la torah

Médite cela : Pour pousser les chrétiens à l’assassinat pendant les croisades l'église interdisait la lecture de la Bible ( donc de la thora)
Pour pousser les musulmans au crime on leur faire lire d'abord le coran! Stupéfiant non?

Non ce n´est pas tout à fait ca. C´est beaucoup plus subtil que ca. le Coran est en vente libre et lu depuis longtemps, il n´a pas toujours poussé au meurtre.

Ce que Jacky ne comprend pas, c'est que certains versets sont sortis de leurs contextes, tous comme pour les autres livres et ce qu'il ne comprend toujours pas, c'est que pour une grande partie de ceux qui commettent des faits graves, sont des marginaux sans culture, manipulé.

Les commanditaires continuent, quand à eux de vivre sans ce soucier du quand dira t-on et sont souvent des personnes très cultives et en dehors de tous soupçon.

Je rajouterai, que certains versets appel à la guerre sainte, mais il faut les remettre dans leurs contextes.