- Jacky a écrit:
- La graine du mal se trouve au sein même de l'Islam. Elle s'appelle Mohamed.
Et Le judaisme est la forme la plus aboutie du racisme.La Bible juive contient de nombreux passages barbares ou qui ne peuvent qu'inciter à l'intolérance religieuse, voire à la xénophobie ou au racisme.En 1962, le "Livre de la connaissance”, code talmudique de Maimonide, a été publié à Jérusalem en édition bilingue anglais-hébreu. Dans la partie juive, tous las passages haineux et racistes sont présents alors que, bizarrement, dans la partie anglaise, ils sont absents. Par exemple la partie en hébreu dit : "C'est un devoir de les exterminer (les juifs infidèles) de ses propres mains, comme Jésus de Nazareth et ses disciples ... que le nom du pervers s'en aille en putréfaction" alors que la traduction anglaise dit seulement : "C'est un devoir de prendre des mesures actives pour les détruire".
Voici quelques exemples, rapportés par Pranaitis et ses successeurs, des passages antichrétiens contenus dans le Talmud (liste qu'on retrouve un peu partout sur Internet):
Les non-juifs sont impurs : Abhodah Zarah 22b : "Les Non-juifs sont impurs parce qu'ils n'étaient pas là au Mont Sinaï."
Abhodah Zarah 35b : "Toutes les filles des incroyants sont niddah (sales, impures) depuis leur naissance".
Iore Dea 198, 48 : "Les femmes Juives sont contaminées par la simple rencontre de Non-juifs".
Schabbath 145b : "Les Non-juifs sont impurs parce qu'ils mangent de la nourriture impure".
Zohar I, 46b, 47a : "L'âme des goyims est d'une origine théologique impure".
Zohar I, 131a : "Les idolâtres (non-juifs) souillent le monde."
Les non-Juifs sont des animaux : Ereget Rashi Erod.22 30 : "Un Non-juif est comme un chien. Les écritures nous apprennent qu'un chien mérite plus de respect qu'un non-juif".
(Voir : http://www.come-and-hear.com/yebamoth/yebamoth_61.html)
Lebhammoth 61a : "Les juifs ont droit à être appelés « hommes », pas les Non-juifs".
Iore Dea 377, 1 : "Il faut remplacer les serviteurs Non-juif morts, comme les vaches, ou les ânes perdus et il ne faut pas montrer de sympathie pour le juif qui les emploie".
Jalkut Rubeni Gadol 12b: "Les âmes des non-juifs proviennent d'esprits impurs que l'on nomme porcs".
Kerithuth 6b : "Les juifs sont des humains, non les Non-juifs, ce sont des animaux".
Kethuboth 110b : "Pour l'interprétation d'un psaume un rabbin dit : 'le psalmiste compare les Non-juifs à des bêtes impures'."
Orach Chaiim 225, 10 : "Les Non-juifs et les animaux sont utilisés de manière équivalente dans une comparaison".
Schene Luchoth Haberith p. 250b : "Même qu'un non-juif à la même apparence qu'un juif, ils se comportent envers les juifs de la même manière qu'un singe envers un homme".
Tosaphot, Jebamoth 94b : "Lorsque vous mangez en présence d'un non-juif c'est comme ci vous mangiez avec un chien".
Yebamoth 98a : "Tous les enfants des goyims sont des animaux".
Zohar II 64b : "Les non-juifs sont idolâtres, ils sont comparés aux vaches et aux ânes".
Orach Chaiim 57, 6a : "Il ne faut pas avoir plus de compassion pour les non-juifs que pour les cochons, quand ils sont malades des intestins".
Les juifs peuvent voler les non-juifs : Babha Bathra 54b : "La propriété d'un Non-juif appartient au premier juif qui la réclame".
Babha Kama 113a : "Les juifs peuvent mentir et se parjurer, si c'est pour tromper ou faire condamner un Non-juif".
Babha Kama 113b: "Le nom de dieu n'est pas profané quand le mensonge a été fait à un Non-juif".
Baba Mezia 24a: "Si un juif trouve un objet appartenant à un goyim, il n'est pas tenu de le lui rendre".
Choschen Ham 183, 7: "Des juifs qui trompent un Non-juif, doivent se partager le bénéfice équitablement".
Abhodah Zarah 54a: "L'usure peut être pratiquée sur les Non-juifs, ou sur les apostats".
Choschen Ham 226, 1: "Les juifs peuvent garder sans s'en inquiéter les affaires perdues par un Non-juif".
iore Dea 157, 2 hagah: "Si un juif a la possibilité de tromper un non-juif, il peut le faire".
Babha Kama 113a: "Les incroyants ne bénéficient pas de la loi et Dieu à mis leur argent à la disposition d'Israël".
Schabbouth Hag. 6d: "Les juifs peuvent jurer faussement en utilisant des phrases à double sens, ou tout autre subterfuge".
Les juifs peuvent tuer les non-juifs : Abhodah Zarah 4b: "Vous pouvez tuer un incroyant avec vos propres mains".
Abhodah Zarah 26b Tosepoth : "Même le meilleur des Goïm devrait être abattu".
Choschen Ham 425, 5 : "Il est permis de tuer indirectement un Non-juif, par exemple, si quelqu'un qui ne croit pas en la Torah tombe dans un puits dans lequel se trouve une échelle, il faut vite retirer l'échelle".
Bammidber Raba c 21 & Jalkut 772: "Tout juif qui verse le sang d'incroyants (non-juifs) revient à la même chose qu'une offrande à dieu".
Hilkkoth X, 1 : "il ne faut pas sauver les Non-juifs en danger de mort".
Hilkhoth X, 2 : "Les juifs baptisés doivent être mis à mort".
Ialkut Simoni 245c : "Répandre le sang des impies est un sacrifice agréable à dieu".
Iore Dea 158, 1 : "En ce qui concerne les Non-juifs qui ne sont pas des ennemis, un juif ne doit néanmoins pas intervenir pour les prévenir d'une menace mortelle".
Talmud, Makkoth 7b : "On est innocent du meurtre involontaire d'un Israélite, si l'intention était de tuer un koutim (non-juif) ; tout comme on est innocent du meurtre accidentel d'un homme, quand l'intention était d'abattre un animal".
Talmud, Peaschim 25a : "Il faut éviter l'aide médicale des idolâtres sous entendu des Non-juifs".
Talmud, Pesachim 49b : "Il est permit de décapiter les Goïm (non-juifs) le jour de l'expiation des péchés, même si cela tombe également un jour de sabbat".
Rabbin Eliezer : " 'Il est permis de trancher la tête d'un idiot, un membre du peuple de la Terre, c'est-à-dire un animal charnel, un Chrétien, le jour de l'expiation des péchés et même si ce jour tombe un jour de sabbat'.
Ses disciples répondirent : 'Rabbi ! Vous devriez plutôt dire 'de sacrifier' un Goï.' Mais il répliqua : 'En aucune façon ! Car lors d'un sacrifice, il est nécessaire de faire une prière pour demander à Dieu de l'agréer, alors qu'il n'il n'est pas nécessaire de prier quand tu décapites quelqu'un'."
Sanhedrin 57a: "Si un juif tue un non-juif, il ne sera pas condamné à mort. Ce qu'un juif vole d'un non-juif, il peut le garder".
Sanhedrin 58b : "Si un goyim (non-juif) frappe un juif, il faut le tuer, car c'est comme frapper Dieu".
Sanhedrin 59a : "Les Goïm qui chercheraient à découvrir les secrets de la Loi d'Israël, commettent un crime qui réclame la peine de mort".
Sepher Ou Israël 177b : "Si un juif tue un Non-juif, ce n'est pas un péché".
Zohar I, 25a : "Les Non-juifs doivent être exterminés car ce sont des idolâtres".
Zohar I, 28b, 39a : "Les meilleures places dans les Cieux sont pour ceux qui tuent les idolâtres".
Zohar II, 64b : "Le taux de naissance des Non-juifs doit être diminué matériellement".
Sepher Ikkarim III c25: "Il est permis de prendre le corps et la vie d'un non-juif".
Zohar II, 43a : "L'extermination des Non-juifs est un sacrifice agréable à dieu".
Le juif est un être supérieur : Hilkhoth Non-juif X, 1 : "Ne passez aucun accord avec un Non-juif, et ne jamais manifester de pitié envers un Non-juif".
Chagigah 15b : "Un juif est toujours considéré comme bon, en dépit des péchés qu'il peut commettre. C'est toujours sa coquille qui se salit, jamais son fond propre".
Choschen Ham 26, 1: "Un juif ne doit pas être poursuivi devant un tribunal Non-juif, par un juge Non-juif, ou par des lois non-juives".
Chullin 91b: "Les juifs possèdent la dignité dont même un ange ne dispose pas".
Kallah 1b, 18: "Le juif peut se parjurer la conscience claire".
Sanhédrin 52b: "L'adultère n'est pas défendu. avec la femme d'un Goyim (non-juif), parce que Moïse n'a interdit que l'adultère avec 'la femme de ton prochain', et les goyims (non-juifs) ne sont pas des prochains".
Choschen Ham 34, 19: "Les Non-juifs et les serviteurs ne peuvent pas témoigner lors d'un procès".
Abhodah Zarah 20a: "Ne jamais faire la louange d'un Non-juif, de peur qu'il ne la croie".
Abhodah Zarah 22a: "Ne pas fréquenter les goyims, ils versent le sang".
Abhodah Zarah 25b: "Se méfier des Non-juifs quand on voyage avec eux à l'étranger".
Abhodah Zarah 26a: "Ne pas recourir à une sage femme non-juive, qui une fois seule pourrait tuer le bébé, ou même si elle était surveillée, elle pourrait lui écraser la tête sans que personne ne puisse le voir".
Abhodah Zorah 26b: "Ceux qui voudraient changer de religion doivent être jetés au fond d'un puits, et oubliés".
Abhodah Zarah 35b: "Ne pas boire du lait tiré par un Non-juif".
Choschen Ham 156, 5: "Les clients non-juifs possédés par un juifs, ne doivent pas être démarchés par un autre juif".
Choschen Ham 386, 10: "Celui qui voudrait avouer les secrets d'Israël aux Non-juifs, doit être tué avant même qu'il ne leur dise quoi que ce soit".
Choschen Ham 388, 15: "Il faut tuer ceux qui donneraient l'argent des Israélites à des Non-juifs".
Eben Haezar 44, 8: "Sont nuls, les mariages entre les Non-juifs et les juifs".
Emek Haschanach 17a: "L'âme des non-juifs vient de la mort et de l'ombre de la mort".
Hilkhoth Maakhaloth: "Les Non-juifs sont des idolâtres, il ne faut pas les fréquenter".
Hilkhoth X, 6: "On peut aider les Non-juifs dans le besoin, si cela nous évite des ennuis par la suite".
Hilkhoth X, 7: "Où les juifs sont fortement installés, il ne faut plus tolérer la présence des idolâtres".
Iore Dea 81, 7 Ha: "Un enfant ne doit pas être allaité par une nourrice non-juive, car son lait lui donnera une nature maléfique".
Iore Dea 120, 1: "La vaisselle acheté à des Non-juifs doit être jetée".
Iore Dea 146, 15: "Leurs idoles (c'est à dire les objets du culte) doivent être détruites, ou appelées par des noms méprisants."
Iore Dea 147, 5: "Il faut railler les objets du culte non-juif, il est interdit de souhaiter du bien à un Non-juif".
Iore Dea 148, 12 H: "On peut prétendre se réjouir avec les Non-juifs pendant leurs fêtes, si cela permet de cacher notre haine".
Iore Dea 151, 14: "Il est interdit de concourir à la gloire d'un Non-juif".
Iore Dea 151, 11: "Il est interdit de faire un présent à un Non-juif, cela encourage l'amitié".
Iore Dea 153, 1: "Les nourrices non-juives conduisent les enfants à l'hérésie".
Iore Dea 154, 2: "Il est interdit d'enseigner un métier à un Non-juif".
Iore Dea 159, 1: "Suivant la Torah, il est autorisé de prêter de l'argent à un Non-juif avec intérêt. Toutefois, certains des anciens n'ont pas reconnu ce droit dans des cas de vie ou de mort. Aujourd'hui, ce droit est accordé dans n'importe quelle circonstance".
Moed Kattan 17a: "Si un juif est tenté par le mal, il doit se rendre dans une ville ou on ne le connaît pas et la il peut s'adonner au mal".
Orach Chaiim 20, 2 : "Les Non-juifs se déguisent pour tuer les juifs".
Rosch Haschanach 17a : "L'âme des non-juifs descend en enfer pour toutes les générations".
Sanhedrin 57a: "Un juif n'est pas obligé de payer le salaire redevable à un non-juif".
Sanhedrin 90a: "Ceux qui lisent le nouveau testament (chrétiens) n'auront pas de place dans le monde à venir".
Shabbath 116a (p. 569): "Les juifs doivent détruire les livres des non-juifs (nouveau testament)".
Zohar I, 25b: "Ceux qui font du bien à un Non-juif, ne se relèveront pas des morts".
Zohar I, 28b: "Les Non-juifs sont les enfants du serpent de la Genèse".
Zohar I, 160a: "Les juifs doivent en permanence tenter de tromper les Non-juifs".
Zohar I, 219b: "Les princes Non-juifs sont des idolâtres, ils doivent mourir".
Zohar II, 19a: "La captivité des juifs prendra fin lorsque les princes Non-juifs seront morts".
Que penser de tous ces exemples rapportés par Pranaitis ?
Certains font que remarquer que ce Pranaitis était un antisémite russe et que, contrairement à ce qu'il prétendait, il n'était pas du tout un grand spécialiste de l'hébreu.
En Russie, en 1912, un certain Mendel Beiliss avait été accusé du meurtre d'un enfant chrétien. On prétendait qu'il voulait utiliser son sang pour accomplir des rituels juifs innommables. Pranaitis fut appelé lors du procès de Beilis en tant qu'expert religieux dans les rituels juifs. Pranaïtis déclara que le meurtre du jeune garçon était bien un rituel religieux juif de libation de sang. Pourtant, sa crédibilité s'écroula instantanément lorsque la défense de Beilis lui posa des questions de base sur ce que n'importe quel spécialiste du Talmud devrait savoir; Elle démontra à quel point il était ignorant à propos du Judaïsme :
Q : Quelle est la signification du mot Hullin ?
R : Je ne sais pas.
("Hullin" signifie "aliment profane" en hébreu par opposition à "aliment consacré". C'est aussi le nom d'un traité du Talmud.)
Q : Quelle est la signification du mot Erubin ?
R : Je ne sais pas.
("Erubin" est le nom d'un traité du Talmud.)
Q : Quelle est la signification du mot Yevamot ?
R : Je ne sais pas.
("Yevamot " signifie "Veuves". C'est aussi le nom d'un traité du Talmud.)
Q : Quand a vécu Baba Bathra et quelle était son activité ?
R : Je ne sais pas.
("Baba Bathra" signifie "La dernière porte". Ce n'était pas une personne mais c'est un traité Talmudique) Références :
- "L'Accusation de sang : L'histoire étrange du cas Beiliss" par Maurice Samuel.
- "L'affaiblissement du tzarisme : L'épreuve de Beilis" par Alexandre B. Tager.
- "Les transcriptions de Beilis : L'épreuve anti-sémitique qui a secoué le monde" par E. Leikin.
Cependant on remarquera qu'il n'est pas besoin d'être un grand spécialiste de l'hébreu pour lire le Talmud en recopiant simplement les phrases intolérantes qui s'y trouvent.
Encore fait-il savoir si ces phrases s'y trouvent bien et si elles ont bien été recopiées honnêtement sans subir de déformations.
Les rabbins objectent que certains de ces passages du Talmud n'existent pas ... Mais, justement, on dit que certains passages ont été censurés et qu'ils n'ont pas été restitués dans toutes les éditions. Pranaitis travaillait dans un pays orthodoxe, hors les Chrétiens orthodoxes n'avaient pas obligé les Juifs à épurer leur Talmud comme l'avaient fait les Chrétiens catholiques (.... à moins que ce ne soit là qu'une invention de Pranaitis ?)
Les rabbins objectent aussi que certains de ces passages sont caducs, car ils ne parlaient pas des Chrétiens actuels mais des anciens peuples polythéistes environnant l'antique Israel (les Cananéens par exemple).
Cependant, si c'est vrai, le problème n'est que reporté dans le passé : ca montre que le judaïsme s'est montré haineux et raciste envers ses voisins dans l'antiquité. Et à aucun moment ce comportement n'a été condamné ... on a juste considéré qu'il n'avait plus lieu d'être puisque les peuples incriminés n'existent plus.
En outre, il semblerait que, dans certains passages du Talmud, les mots désignants les Chrétiens ont été remplacés délibérément par des mots désignants des peuples païens anciens (... à moins que Pranaitis n'ait inventé ceci ?).
De plus, le fait même que des rabbins discutent sur ces passages démontre bien que ceux-ci existent bien dans le Talmud. Donc on ne peut pas croire ceux qui prétendent que ces passages ne sont qu'une pure création de la part des antisémites.
Les rabbins objectent également que ce n'est pas les lois écrites dans le Talmud qui sont la chose la plus plus importante mais les commentaires oraux que la tradition y a ajouté; Hors les commentaires oraux peuvent parfois dire le contraire de la loi écrite.
Mais dans ce cas a quoi sert la loi écrite, puisque la loi orale prédomine et peut dire exactement l'inverse ?
En outre, on a vu que, justement, certains passages avaient été retirés du Talmud écrit alors qu'ils continuaient d'être enseignés oralement (... à moins que ce ne soit là qu'une invention de Pranaitis ?).
Enfin les rabbins objectent que certains de ces passages ont été cités hors de leur contexte, ce qui déforme complètement leur portée.
Cet argument est valable. En effet le Talmud contient des discussions où plusieurs opinions sont proposées, analysées et discutées; et certaines sont retenues alors que d'autres sont rejetées. Il est donc malhonnète de dire que le Talmud affiche telles ou telles lois racistes alors que ces lois font justement partie de celles qui sont rejetées dans les discussions du Talmud. C'est comme-ci on extrayait de l'Evangile la phrase qui dit: "On doit laisser mourir un malade le jour du Shabbat" sans lire la réponse du Christ.
Prenons, comme exemple, Abhodah Zarah, 26b Tosepoth. : "Même le meilleur des Goïm devrait être abattu".
Une traduction plus complète donnerait ceci : "Un Juif qui tue un Chrétien, offre ainsi un sacrifice agréable à Dieu. Même le meilleur des Goïm (non-Juifs) devrait être tué."
On remarquera que Abhodah Zarah, 26b, Tosepoth ne fait pas partie du Talmud. C'est un recueil de commentaires sur le Talmud. De plus, les sources talmudiques indiquent que ce commandement de tuer tous les non-Juifs (ou plus exactement les Cananéens) était applicable seulement pendant les guerres contre eux.
Cependant cela n'apporte pas un grand changement : Que ce soit pendant les périodes de paix ou de guerres, dire que tuer est agréable à Dieu n'est qu'une vulgaire parole de haine.
Prenons, comme autre exemple, le Babha Bathra 54b : "La propriété d'un Non-juif appartient au premier juif qui la réclame".
Une traduction plus détaillée dit plutôt ceci : "Rab Yehudah a dit que la propriétè d'un paien est sur le même pied que les terres désertiques. Quiconque l'occupe le premier en acquiert la propriété."
Mais le texte complet, avec tous les commentaires, serait plutôt cela :
"Rab Yehudah dit au nom de Samuel : La propriété d'un idolatre, si elle est vendue à un Israelite et que le dernier n'a pas fait de hazakah dessus, c'est comme un désert; et le premier qui fait une hazakah dessus en acquiert la propriété. Pourquoi ? Parce que l'idolatre, aussitôt qu'il recoit l'argent, s'en détache lui-même; et comme l'Israelite n'a pas encore aquis de titre jusqu'à ce qu'il recoive l'acte de vente, c'est donc comme un desert, et tout le monde peut en prendre possession (en retournant l'argent à l'acheteur)."
On voit donc que, lorsque le texte est complet, son sens devient bien différent. De plus, le Bava Kama, 13a-b s'oppose au vol des non-juifs :
"Et qui permet de voler un non-juif ? N'est-il pas dit : Rabbi Shimon dit que Rabbi Akiva enseigna ceci en revenant de Zephirin: Nous savons que le vol d'un non juif est interdit car 'après qu'un juif ait été vendu comme esclave à un non juif, il aura la redemption' (Levitique 25:48). Nous voyons ainsi que même lorsque le tribunal juif a le pouvoir de le rendre libre gratuitement, il ne doit pas faire ainsi à moins que le non-juif soit entièrement payé, car il est écrit 'il devrai faire un compte avec son acheteur (idem 50)'. Rava a dit: il n'y a pas de contradiction avec un autre cas. Ici nous parlons de vol alors qu'auparavant nous parlions d'annulation de prêt."
Prenons un autre exemple, le Sanhedrin 59a Abhodah Zarah 8a-8b : "Les Goïm qui chercheraient à découvrir les secrets de la Loi d'Israël, commettent un crime qui réclame la peine de mort."
Une autre traduction donne plutôt ceci :
"Le goy qui veut étudier le Talmud et les Juifs qui l'aideront, tous doivent mourir."
Mais si on lit la suite du texte, on voit qu'il est question d'un dialogue entre deux rabbins, dont le premier, en effet, réclame fanatiquement la mort pour un païen qui étudierait la Torah (le Pentateuque, et non le Talmud), alors que le deuxième rabbin démolit l'argumentation de son collègue en rappelant qu'un païens, qui a étudié la Torah pourra lui succéder en s'élevant au rang de grand prêtre.
Les traductions de Pranaitis sont donc partiales (voire délibérément mutilées) et on ne peut pas leurs faire confiance.
On peut cependant essayer de lire d'autres auteurs plus anciens qui, eux aussi, ont recopié les passages du Talmud qui posaient problème.
En 1239, Nicolas Donin, un érudit Juif nouvellement converti au christianisme, porta devant le Pape Grégoire IX, une accusation contre le contenu du Talmud. Ce dernier fit alors saisir les exemplaires de ce livre et fit ouvrir une enquête ouverte sur le sujet. L'année suivante eut alors lieu à Paris une discussion entre Donin et quatre rabbins parmi les plus érudits, à la suite de laquelle le Talmud fut condamné à être brûlé. Les 35 chefs d'accusations soulevés lors du procès ont été mis par écrit dans l'ouvrage "Extractiones de Talmut", ce qui permet de connaitre les passages du Talmud qui posaient problème et scandalisaient les Chrétiens.
Voici quelques passages de ce manuscrit, permettant de déterminer le contenu du Talmud à cette époque, avant qu'il ne soit censuré et expurgé en Occident :
VIII. "Et celui qui n’observe pas ce qu'ils disent mérite la mort" : (...) "Cela se lit dans l'Ordre Moëd, traité de Erubim (fol. 21.6), chapitre Ocimpacim, où il est dit : Rabha fait cette glose : … Mon fils, observe les paroles des scribes plus que les paroles de la loi... ; quiconque transgresse les paroles des scribes mérite la mort... Rab Papa dit : Cela nous enseigne que celui qui se moque de la parole des sages est puni du châtiment de la boue bouillante."
X. "Parmi eux (les scribes et les docteurs du Talmud) il y en a qui ont donné pour loi : 'Le meilleur des chrétiens, tue-le'!" : (… ) "Rabbi Siméon dit : 'Le meilleur des chrétiens, tue-le; le meilleur des serpents, écrase-lui la tête'… Le meilleur des chrétiens peut donc être tué comme un méchant."
XII. "Un chrétien peut être trompé, par ruse ou artifice, sans péché." : "Ceci se lit dans l'Ordre Yeschuot, traité Baba-Kamma (fol. 38, a), chapitre Schor, (…) ; dans la Mischna (…). Par là les docteurs prouvent et disent que Dieu a livré aux juifs tous les biens des autres nations."
XXX. "Trois fois par jour, dans la prière qu’ils regardent comme la plus importante, ils maudissent les ministres de l'Eglise, les Rois, et tous les autres, mêmes juifs, qui sont les ennemis des juifs. "
Au XVIe siècle, Sixte de Sienne,un autre juif converti, a lui aussi recopié dans un livre (déposé dans sa Bibliothèque sainte) les passages du Talmud que lui-même condamnait :
Ghémara de Babylone, ordre 1er, traité 1, chapitre 4 :
"Nous ordonnons que tout juif, trois fois par jour, maudisse tout le peuple chrétien, et prie Dieu de le confondre et de l'exterminer avec ses rois et ses princes. Et que surtout les prêtres des juifs fassent trois fois le jour, dans la synagogue, cette prière en haine de Jésus de Nazareth. (...) Dieu a prescrit aux juifs de s'approprier par n'importe quel moyen, soit par ruse, soit par violence, soit par usure, soit par vol, les biens des chrétiens."
Ordre 4, traité 8 : "Il est prescrit à tous les juifs de regarder les chrétiens comme des brutes, et de ne pas les traiter autrement que comme des bêtes brutes."
Ordre 4, traité 8. chapitre 2 : " Que le juif ne fasse ni bien ni mal aux païens, mais qu'il s'efforce par tous les moyens possibles d’ôter la vie au chrétien-"
Ordre 4, traité 8 : "Si un juif voit un chrétien sur le bord d'un précipice, il est tenu de l'y précipiter aussitôt."
Ordre 2. traité 1, chapitre. 2 : Les Etats chrétiens sont plus exécrables que les états des autres peuples, et c'est un moindre péché d'être au service d'un prince païen que d'un prince chrétien."
Ordre 1, traité 1, chapitre 2 : Les églises des chrétiens sont des maisons de perdition et des lieux d'idolâtrie que les juifs sont tenus de détruire.
Mais tous ces extraits sont-ils des traductions objectives du Talmud ou sont-ils des déformations partisanes ?
Le mieux serait probablement de faire des recherches par soi-même dans le Talmud si on veut se faire une idée de son contenu réel (à condition d'en trouver une traduction complète et non censurée).
En cherchant, que peut-on donc encore trouver dans le Talmud ?
On peut, par exemple, y trouver des passages bêtement superstitieux :
Gittin 69a : "Pour guérir sa chair un Juif devrait prendre la poussière qui est dans l'ombre des toilettes en plein air, et la mélanger avec du miel et le manger".
Gittin 69b : "Pour guérir la pleurésie, un Juif devrait prendre les excréments d'un chien blanc et les pétrir avec du baume..."
Pesahim 111a : "Il est défendu pour les chiens, les femmes ou les palmiers de passer entre deux hommes, d'autres ne peuvent marcher non plus entre les chiens, les femmes ou les palmiers. Des dangers spéciaux sont impliqués si les femmes ont leurs règles ou se regroupent à un carrefour."
Gittin 70a ”En venant des toilette de plein air, un homme ne devrait pas avoir des rapports sexuels avant qu'il n'ait attendu assez longtemps pour marcher la moitié d'un mile, parce que le démon des toilettes est avec lui pendant toute cette durée; s'il le fait quand même, ses enfants seront épileptiques.”
Yebamoth 59b: "Une femme qui a eu des rapports sexuels avec une bête a le droit de se marier avec un prêtre juif. Une femme qui a eu des relations avec un démon a aussi droit de se marier avec un prêtre juif."
On peut aussi trouver des passages sexistes dans le Talmud :
Menahoth 43b : “Un Juif mâle devrait dire la prière suivante chaque jour : 'Dieu Merci de ne pas m'avoir fait une femme, un Gentil ou un esclave'.”
Baba Bathra 16b : “la naissance d'une fille est un triste événement.”
Aboth 1:5 : “il n'est pas bon de parler aux femmes, pas même à votre propre femme.”
Gittin 91a : “il est permis de divorcer d'avec votre femme si elle brûle votre dîner, ou si vous voyez une plus jolie fille, même si elle n'a que 3 ans.”
Plus hypocrite et insidieux, on peut également trouver une prière qui favorise le mensonge : Le Kol Nidre, dont le contenu apparait dans le Talmud, Livre de Nedarim 23a-23b.
Voici ce qui en est dit dans l'Edition Soncino :
"Et que celui qui desire qu'aucun des voeux qu'il prendra pendant l'année ne soit valide, se presente au debut de l'année et declare: "Tous les voeux que je prends, dans le futur seront nuls. (Ses voeux ne seront donc pas valides), pourvu qu'il se souvienne de cela au moment ou il fera le voeu."
Et voilà la traduction officielle de cette prière, issue du volume VIII de l'encyclopaedia Judaica (page 539):
"De tous les voeux, les engagements, les serments, les anathemes que l'on pourrait prendre, faire, jurer ou promettre, ou par lequel nous pourrions nous lier d'une maniere quelconque entre ce jour de l'expiation et le suivant (dont nous attendons l'heureuse venue), nous nous repentons par avance. Puissent ils etre absous, pardonnés, annulés, nuls et non avenus; ils ne doivent nous lier d'aucune maniere, ni avoir un pouvoir quelconque sur nous. Les voeux ne doivent pas etre considerés comme des voeux, les obligations ne doivent pas etre obligatoires, ni les serments etre des serments."
Cette prière permet et autorise donc la dissimulation et le mensonge, voir l'incite. Ce n'est guère spirituel.
On peut aussi citer divers exemples qui, sans être xénophobes ou racistes, paraissent très barbares.
Ceux qui traitent de la pédérastie, par exemple :
Kerithuth, 11a-11b
"Rabba a dit que ça voulait dire ceci : 'Quand un homme adulte a des rapports avec une petite fille, ce n’est rien, car quand la fille est plus petite que dans ce cas là (moins de trois ans), c’est comme si on lui mettait le doigt dans l’œil ; mais quand un petit garçon a des rapports avec une femme adulte, c’est un cas équivalent à celui où une fille est pénétrée par un morceau de bois'."
Abhodah Zarah 36b-37a :
"Rabbi Naham ben Isaac a dit : 'Au sujet des enfants païens, ils décrétèrent que les rapports sexuels pourraient causer une souillure par l’émission de leur sperme, et qu’un enfant israélite ne devait donc pas prendre l’habitude de commettre des actes de pédérastie avec ces animaux. (...) À partir de quel âge un enfant païen déclenche-t-il la souillure par l’émission de son sperme ? À partir de neuf ans et un jour. Dès lors qu’il est capable de l’acte sexuel, il souille en répandant son sperme.'
Rabina a dit : 'Il faut donc conclure qu’une petite fille païenne souille depuis l’âge de trois ans et un jour, attendu qu’elle est alors capable de participer à l’acte sexuel, elle peut donc parfaitement souiller par l’intermédiaire de ses humeurs vaginale'.”
Sanhedrin 54b :
"Un juif peut avoir des rapports sexuels avec un enfant à condition que l’enfant ait moins de neuf ans."
Sanhedrin 55b-55a :
"Rab a dit : 'La pédérastie avec un enfant qui a moins de neuf ans, n’est pas à considérer comme la pédérastie avec un enfant plus âgé.'
Samuel a dit : 'La pédérastie avec un enfant qui a moins de trois ans, n’est pas à considérer de la même manière que la pédérastie avec un enfant plus âgé.'
Quelle est la base de leur désaccord ?
–Rab soutient que seul un sujet passif qui pourrait être capable d’avoir des rapports sexuels en tant que sujet actif, peut rendre coupable le sujet actif ; tandis qu’un enfant incapable d’être un sujet actif, ne peut être considéré comme le sujet passif d’un acte de pédérastie.
Samuel soutient quant à lui que l’Écriture dit : 'Tu ne coucheras pas avec un homme comme on couche avec une femme' (Lévitique 18 :22). Il a donc été enseigné, conformément à l’avis de Rab, que le crime de pédérastie n’est qualifié qu’à partir de neuf ans et un jour ; (55a) mais celui qui commet la bestialité, que ce soit par les voies naturelles ou par les voies qui ne sont pas naturelles, ou bien une femme qui fait en sorte d’être abusée d’une manière bestiale, que ce soit par les voies naturelles ou par les voies qui ne sont pas naturelles, est passible de châtiment."
Sanhedrin 55b :
"Une petite fille de trois ans et un jour peut être acquise en mariage par coït, en cas de mort de son mari et si elle a un rapport sexuel avec le frère de son mari, elle devient à lui. Une telle fille est considérée comme femme mariée, on peut se rendre coupable d’adultère à travers elle ; car elle peut souiller l’homme qui a des rapports sexuels avec elle, et celui-ci pourrait à son tour souiller ce sur quoi il se couche, comme un vêtement qu’on se passe (cas de blennorragie)."
Une variante de ce passage est :
'Y a-t-il une chose qui soit permise à un Juif et qui soit interdite à un païen. Le rapport sexuel par les voies qui ne sont pas naturelles est permis à un Juif. '
En considérant les deux en même temps, la dernière comme une illustration de la première, on apprend que la peine relative à la violation du commandement : 'À sa femme oui, mais pas à la femme de son voisin' ne s’applique que pour les rapports naturels, mais pas pour les rapports qui ne sont pas naturels."
Sanhédrin 59b :
"Une relation sexuelle avec un garçon de moins de huit ans n’est pas de la fornication."
Sanhedrin 69a :
"De ce qui précède, je ne connais la teneur de la loi qu’à l’égard d’un homme adulte, mais qu’est-il dit pour les enfants qui sont âgés de neuf ans et un jour, et qui sont capables d’avoir des rapports sexuels ? Et cela depuis le vers 'Et si un homme...?'
Il répondit : 'Un mineur de cette âge peut produire de la semence, mais ne peut pas engendrer avec elle, car sa semence est comme la graine des céréales qui n’en sont qu’aux deux tiers de leur croissance.(elles ne pousseront pas)'
Yebamoth 12b :
"Rabbi Bebai a récité tous ces cas particuliers devant Rabbi Naham : 'Trois catégories de femmes peuvent utiliser un absorbant dans leurs relations sexuelles avec leur mari (pour empêcher la conception). Une mineure, une femme enceinte, et une nourrice. La mineure parce qu’elle pourrait devenir enceinte, et ainsi pourrait mourir (...)'
Et quel doit être l’âge de cette mineure ? Entre onze ans et un jour et douze ans et un jour. Celles qui sont plus jeunes, ou celles qui sont plus vieilles, doivent avoir des relations sexuelles avec leurs maris de la manière habituelle."
Yebamoth 60b :
"Ainsi que le révèle le rabbin Joshua ben Lévi : 'Il y avait une ville sur la Terre d’Israël, où la légitimité d’un habitant était disputée, et Rabbi envoya Rabbi Ramanos qui mena une enquête. Rabbi Ramanos trouva dans cette ville la fille d’un prosélyte (et qui était mariée à un prêtre) qui n’avait pas encore trois ans et un jour, et Rabbi a déclaré : 'Elle peut vivre avec ce prêtre'."
Les rabbins font de 9 ans (ou 3 ans) le minimum : si quelqu'un sodomise un enfant moins âgé, aucune culpabilité n'est encourue.
Pour ce qui est des filles, il est dit que pour ne pas risquer de châtiment divin, le sodomite doit s'en prendre à celles de moins de 3 ans.
Le fait est qu'il ne sera pas puni par Dieu s'il sodomise un garçon de moins de 9 ans ou une fille de moins de 3 ans.
En outre, un enfant de moins de 9 (ou 3) ans qui se serait fait sodomiser n'est pas coupable du crime pédérastique alors que l'enfant qui est plus vieux que 9 (ou 3) ans, qu'il soit sodomisé ou qu'il sodomise, est coupable.
Je suis pourtant pas sûr qu'à cet age on puisse dire qu'on aie le libre-arbitre de se laisser faire...
Serait-il possible de rendre ces lois moins barbares en les remettant dans leur contexte ?
Et le problème reste toujours le même : Ces passages ont-ils bien été traduits ?
Plus récemment un autre auteur a mis en cause les lois talmudiques. Il s'agit d'Israël Shahak.
C'était un Juif rescapé de l'Holocauste qui a émigré en Israël en 1945 et servi dans l'armée juive Tsahal. Militant des droits de l'homme, il s'est attaqué à l'influence de l'obscurantisme religieux juif dans la vie politique israëlienne.
En 1965, il est révolté par l'attitude d'un Juif religieux qui refuse de prêter son téléphone afin d'appeler une ambulance pour secourir un goy (non Juif). Ce religieux justifie son refus en invoquant la Halakha qui interdit de sauver un non-juif le jour du Sabbat. Questionnés par Shahak, les membres de la Cour rabbinique de Jérusalem (nommés par l'Etat d'Israël) répondent que ce refus était parfaitement conforme aux lois talmudiques. Selon cette loi, il est interdit à un juif de profaner le jour du Sabbat pour sauver un non-juif. Par contre c'est permis pour sauver un juif. Scandalisé par cette discrimination, Shahak se met alors à étudier les lois talmudiques et expose le résultat de ses recherches dans des livres comme "Le racisme de l'État d'Israël" et "Histoire juive, religion juive, le poids de trois millénaires". ( - Télécharger - )
En 1973, Shahak révèle ainsi que l'armée israélienne a distribué à ses soldats une brochure disant ceci : "Lorsque nos forces rencontrent des civils en temps de guerre ou lors d'une poursuite ou d'un raid, tant qu'il n'y a aucune certitude que ces civils sont dans l'impossibilité de nuire à nos troupes, alors, conformément à la Halakha, ils peuvent et doivent être tués. En aucun cas on ne peut se fier à un Arabe, même s'il donne l'impression d'être civilisé. En temps de guerre, nos troupes donnant l'assaut sont non seulement autorisées mais tenues par la Halakha de tuer même les civils paisibles, c'est-à-dire les civils paisibles en apparence".
Cette brochure a alors été retirée mais ceux qui l'ont mise en pratique n'ont jamais été punis.
Israël Shahak pense même que le comportement impérialiste des Israéliens envers les Palestiniens est calqué directement sur le contenu de l'Ancien testament où Dieu encourage les Hébreux à exterminer tous les anciens peuples occupant la terre promise. Si on lit l'Ancien testament, en effet, il n'y a plus de problèmes de traduction : On voit directement ce qu'il en est des enseignements haineux envers les populations non-juives. On voit également l'intolérance barbares dont faisait preuve la loi mosaîque; Hors la loi talmudique n'est autre que le développement de cette loi mosaïque.
Voici quelques exemples :
Exode 21.2-4 :
"Si tu achètes un serviteur (esclave) hébreu, il servira six années, et, la septième, il sortira libre, gratuitement.
S’il est venu seul, il sortira seul ; s’il avait une femme, sa femme sortira avec lui.
Si son maître lui a donné une femme, et qu’elle lui ait enfanté des fils ou des filles, la femme et ses enfants seront à son maître, et lui, il sortira seul".
Exode 22.2 :
"Si un voleur est pris sur le fait d’effraction…
Lui (le voleur) cependant doit réparer ; et s’il ne le peut, il sera vendu pour son vol."
Lévitique 20.9-16 :
"Tout homme qui maudira son père et sa mère sera certainement mis à mort ; il a maudit son père et sa mère, son sang est sur lui.
Et un homme qui commet adultère avec la femme d’un autre, — qui commet adultère avec la femme de son prochain… : l’homme et la femme adultères seront certainement mis à mort.
Et l’homme qui couchera avec la femme de son père, découvre la nudité de son père ; ils seront certainement mis à mort, tous deux : leur sang est sur eux.
Et si un homme couche avec sa belle-fille, ils seront certainement mis à mort, tous deux ; ils ont fait une confusion : leur sang est sur eux.
Et si un homme couche avec un mâle, comme on couche avec une femme, ils ont fait tous deux une chose abominable ; ils seront certainement mis à mort : leur sang est sur eux.
Et si un homme prend une femme et sa mère, c’est une infamie ; on les brûlera au feu, lui et elles, et il n’y aura point d’infamie au milieu de vous.
Et si un homme couche avec une bête, il sera certainement mis à mort ; et vous tuerez la bête.
Et si une femme s’approche d’une bête, quelle qu’elle soit, pour se prostituer à elle, tu tueras la femme et la bête ; elles seront certainement mises à mort : leur sang est sur elles".
Lévitique 21.9 :
"Et si la fille d’un sacrificateur se profane en se prostituant, elle profane son père ; elle sera brûlée au feu".
Lévitique 24.16 :
"... et celui qui blasphémera le nom de l’Éternel sera certainement mis à mort : toute l’assemblée ne manquera pas de le lapider ; on mettra à mort tant l’étranger que l’Israélite de naissance, lorsqu’il aura blasphémé le Nom".
Lévitique 26.27-33 :
"Et si avec cela vous ne m’écoutez pas, et que vous marchiez en opposition avec moi,
je marcherai aussi en opposition avec vous, avec fureur, et je vous châtierai, moi aussi, sept fois plus, à cause de vos péchés ;
et vous mangerez la chair de vos fils, et vous mangerez la chair de vos filles ;
je détruirai vos hauts lieux, et j’abattrai vos colonnes consacrées au soleil, et je mettrai vos cadavres sur les cadavres de vos idoles, et mon âme vous aura en horreur.
Et je réduirai vos villes en déserts, et je désolerai vos sanctuaires, et je ne flairerai pas l’odeur agréable de vos parfums,
et je désolerai le pays, et vos ennemis qui y habiteront en seront étonnés ;
et vous, je vous disperserai parmi les nations, et je tirerai l’épée après vous, et votre pays sera mis en désolation, et vos villes seront un désert".
Nombres 15.32-36 :
"Et comme les fils d’Israël étaient au désert, ils trouvèrent un homme qui ramassait du bois le jour du sabbat.
Et ceux qui le trouvèrent ramassant du bois, l’amenèrent à Moïse et à Aaron, et à toute l’assemblée.
Et on le mit sous garde, car ce qu’on devait lui faire n’avait pas été clairement indiqué.
Et l’Éternel dit à Moïse : L’homme sera mis à mort ; que toute l’assemblée le lapide avec des pierres hors du camp.
Et toute l’assemblée le mena hors du camp, et ils le lapidèrent avec des pierres, et il mourut, comme l’Éternel l’avait commandé à Moïse".
Nombres 31.9 et 14-18 :
"Les Israélites emmenèrent captives les femmes des Madianites avec leurs petits enfants, ils razzièrent tout leur bétail, tous leurs troupeaux et tous leurs biens.
....
Moïse s'emporta contre les commandants des forces, chefs de milliers et chefs de centaines, qui revenaient de cette expédition guerrière.
Il leur dit : " Pourquoi avez-vous laissé la vie à toutes les femmes ?
Ce sont elles qui, sur les conseils de Balaam, ont été pour les Israélites une cause d'infidélité à Yahvé dans l'affaire de Péor : d'où le fléau qui a sévi sur la communauté de Yahvé.
Tuez donc tous les enfants mâles. Tuez aussi toutes les femmes qui ont connu un homme en partageant sa couche.
Ne laissez la vie qu'aux petites filles qui n'ont pas partagé la couche d'un homme, et qu'elles soient à vous."
Josué 10.29-40 :
"Josué, et tout Israël avec lui, passa de Makkéda à Libna, et il attaqua Libna.
L'Eternel la livra aussi, avec son roi, entre les mains d'Israël, et la frappa du tranchant de l'épée, elle et tous ceux qui s'y trouvaient; il n'en laissa échapper aucun
[...]
Josué, et tout Israël avec lui, passa de Libna à Lakis; il campa devant elle, et il l'attaqua.
L'Eternel livra Lakis entre les mains d'Israël, qui la prit le second jour, et la frappa du tranchant de l'épée, elle et tous ceux qui s'y trouvaient, comme il avait traité Libna.
[...]
Josué, et tout Israël avec lui, monta d'Eglon à Hébron, et ils l'attaquèrent.
Ils la prirent, et la frappèrent du tranchant de l'épée, elle, son roi, toutes les villes qui en dépendaient, et tous ceux qui s'y trouvaient; Josué n'en laissa échapper aucun, comme il avait fait à Eglon, et il la dévoua par interdit avec tous ceux qui s'y trouvaient.
[...]
Josué battit tout le pays, la montagne, le midi, la plaine et les coteaux, et il en battit tous les rois; il ne laissa échapper personne, et il dévoua par interdit tout ce qui respirait, comme l'avait ordonné l'Eternel, le Dieu d'Israël."
Deutéronome 7:16 :
"Tu dévoreras tous les peuples que l'Éternel, ton dieu, va te livrer, tu ne jetteras pas sur eux un regard de pitié".
Deutéronome, 12 :
Ce sont ici les statuts et les ordonnances que vous garderez pour les pratiquer dans le pays que l’Éternel, le Dieu de tes pères, te donne pour le posséder, tous les jours que vous vivrez sur la terre.
Vous détruirez entièrement tous les lieux où les nations que vous déposséderez auront servi leurs dieux sur les hautes montagnes et sur les collines et sous tout arbre vert ;
et vous démolirez leurs autels, et vous briserez leurs statues ; et vous brûlerez au feu leurs ashères, et vous abattrez les images taillées de leurs dieux, et vous ferez périr leur nom de ce lieu-là.
Deutéronome, 13 :
Si ton frère, fils de ta mère, ou ton fils, ou ta fille, ou la femme de ton cœur, ou ton ami, qui t’est comme ton âme, t’incite en secret, disant : Allons, et servons d’autres dieux, des dieux que tu n’as point connus, toi, ni tes pères,
d’entre les dieux des peuples qui sont autour de vous, près de toi ou loin de toi, d’un bout de la terre à l’autre bout de la terre,
tu ne t’accorderas pas avec lui et tu ne l’écouteras pas ; et ton œil ne l’épargnera pas, et tu n’auras pas pitié de lui, et tu ne le cacheras pas ;
mais tu le tueras certainement : ta main sera la première contre lui pour le mettre à mort, et la main de tout le peuple ensuite ;
et tu l’assommeras de pierres, et il mourra, car il a cherché à t’entraîner loin de l’Éternel, ton Dieu, qui t’a fait sortir du pays d’Égypte, de la maison de servitude
...
Si, dans l’une de tes villes que l’Éternel, ton Dieu, te donne pour y habiter, tu entends dire :
Des hommes, fils de Bélial, sont sortis du milieu de toi, et ont incité les habitants de leur ville, disant : Allons, et servons d’autres dieux que vous n’avez pas connus ;
alors tu rechercheras, et tu t’informeras, et tu t’enquerras bien ; et si c’est la vérité, si la chose est établie, si cette abomination a été commise au milieu de toi,
tu frapperas certainement par le tranchant de l’épée les habitants de cette ville ; tu la détruiras entièrement, et tout ce qui y sera, et toutes ses bêtes, par le tranchant de l’épée.
Et tout son butin, tu le rassembleras au milieu de sa place, et tu brûleras tout entiers au feu la ville et tout son butin, à l’Éternel, ton Dieu ; et elle sera un monceau perpétuel, elle ne sera plus rebâtie.
Deutéronome, 15 :
Et c’est ici la manière du relâche : tout créancier relâchera sa main du prêt qu’il aura fait à son prochain ; il ne l’exigera pas de son prochain ou de son frère, car on aura proclamé le relâche de l’Éternel.
Tu l’exigeras de l’étranger ; mais ta main relâchera ce que ton frère aura de ce qui t’appartient,...
Deutéronome, 17 :
S’il se trouve au milieu de toi, dans une de tes portes, que l’Éternel, ton Dieu, te donne, un homme ou une femme qui fasse ce qui est mauvais aux yeux de l’Éternel, ton Dieu, en transgressant son alliance,
et qui aille et serve d’autres dieux, et s’incline devant eux, soit devant le soleil, ou devant la lune, ou devant toute l’armée des cieux, ce que je n’ai pas commandé ;
et que cela t’ait été rapporté, et que tu l’aies entendu, alors tu rechercheras bien ; et si c’est la vérité, si la chose est établie, si cette abomination a été commise en Israël,
tu feras sortir vers tes portes cet homme ou cette femme, qui auront fait cette mauvaise chose, l’homme ou la femme, et tu les assommeras de pierres, et ils mourront.
Deutéronome, 21 :
Si tu sors pour faire la guerre contre tes ennemis, et que l’Éternel, ton Dieu, les livre en ta main, et que tu en emmènes des captifs,
si tu vois parmi les captifs une femme belle de figure, et que tu t’attaches à elle, et que tu la prennes pour femme,
tu l’introduiras dans l’intérieur de ta maison ; et elle rasera sa tête et se fera les ongles,
et elle ôtera de dessus elle le vêtement de sa captivité ; et elle habitera dans ta maison, et pleurera son père et sa mère un mois entier ; et après cela tu viendras vers elle, et tu seras son mari, et elle sera ta femme.
Et s’il arrive qu’elle ne te plaise pas, tu la renverras à son gré ; mais tu ne la vendras point pour de l’argent : tu ne la traiteras pas en esclave, parce que tu l’as humiliée.
Deutéronome, 21 :
Si un homme a un fils indocile et rebelle, qui n’écoute pas la voix de son père ni la voix de sa mère, et qu’ils l’aient châtié, et qu’il ne les ait pas écoutés,
alors son père et sa mère le prendront et l’amèneront aux anciens de sa ville, à la porte de son lieu ;
et ils diront aux anciens de sa ville : Voici notre fils, il est indocile et rebelle, il n’écoute pas notre voix, il est débauché et ivrogne ;
et tous les hommes de sa ville le lapideront avec des pierres, et il mourra ; et tu ôteras le mal du milieu de toi, et tout Israël l’entendra et craindra.
Deutéronome, 22 :
Si un homme a pris une femme, et est allé vers elle, et qu’il la haïsse,
et lui impute des actes qui donnent occasion de parler, et fasse courir sur elle quelque mauvais bruit, et dise : J’ai pris cette femme, et je me suis approché d’elle, et je ne l’ai pas trouvée vierge :
.....
Mais si cette chose est vraie, si les signes de la virginité n’ont pas été trouvés chez la jeune femme,
alors ils feront sortir la jeune femme à l’entrée de la maison de son père, et les hommes de sa ville l’assommeront de pierres, et elle mourra ; car elle a commis une infamie en Israël, en se prostituant dans la maison de son père ; et tu ôteras le mal du milieu de toi.
Si un homme a été trouvé couché avec une femme mariée, ils mourront tous deux, l’homme qui a couché avec la femme, et la femme ; et tu ôteras le mal d’Israël.
Si une jeune fille vierge est fiancée à un homme, et qu’un homme la trouve dans la ville et couche avec elle,
vous les ferez sortir tous les deux à la porte de cette ville, et vous les assommerez de pierres, et ils mourront : la jeune fille, parce que, étant dans la ville, elle n’a pas crié, et l’homme, parce qu’il a humilié la femme de son prochain ; et tu ôteras le mal du milieu de toi.
Deutéronome, 23 :
Celui qui est eunuque, soit pour avoir été froissé, soit pour avoir été taillé, n’entrera point dans la congrégation de l’Éternel.
L’enfant illégitime n’entrera pas dans la congrégation de l’Éternel ; même sa dixième génération n’entrera pas dans la congrégation de l’Éternel.
L’Ammonite et le Moabite n’entreront pas dans la congrégation de l’Éternel ; même leur dixième génération n’entrera pas dans la congrégation de l’Éternel, à jamais ;
(.....)
Tu ne prendras pas d’intérêt de ton frère, intérêt d’argent, intérêt de vivres, intérêt de quelque chose que ce soit qu’on prête à intérêt.
Tu prendras un intérêt de l’étranger, mais de ton frère tu ne prendras pas d’intérêt ; afin que l’Éternel, ton Dieu, te bénisse en tout ce à quoi tu mets la main, dans le pays où tu entres pour le posséder.
Deutéronome, 25,11-12 :
Si des hommes ont une rixe l’un avec l’autre, et que la femme de l’un s’approche pour délivrer son mari de la main de celui qui le frappe, et qu’elle étende sa main et saisisse celui-ci par les parties honteuses,
tu lui couperas la main : ton œil ne l’épargnera point.
Josué, 6, 17-24 :
Et la ville sera anathème à l’Éternel, elle et tout ce qui s’y trouve ; Rahab seule, la prostituée, vivra, elle et tous ceux qui sont chez elle dans la maison, parce qu’elle a caché les messagers que nous avions envoyés.
Et ils détruisirent entièrement, par le tranchant de l’épée, tout ce qui était dans la ville, et homme et femme, et enfant et vieillard, les bœufs, les moutons et les ânes.
(...)
Et ils brûlèrent par le feu la ville et tout ce qui y était ; seulement l’argent et l’or, et les vases d’airain et de fer, ils les mirent dans le trésor de la maison de l’Éternel.
Josué, 9, 24 :
Et ils répondirent à Josué, et dirent : Parce qu’il a été clairement déclaré à tes serviteurs, que l’Éternel, ton Dieu, avait commandé à Moïse, son serviteur, de vous donner tout le pays et d’exterminer tous les habitants du pays devant vous ; et nous avons beaucoup craint pour nos vies à cause de vous, et nous avons fait cela.
Josué, 11, 14-20 :
Et les fils d’Israël pillèrent pour eux tout le butin de ces villes et les bêtes ; seulement ils frappèrent par le tranchant de l’épée tous les hommes, jusqu’à ce qu’ils les eussent détruits : ils n’y laissèrent rien de ce qui respirait.
Comme l’Éternel l’avait commandé à Moïse, son serviteur, ainsi Moïse commanda à Josué, et ainsi fit Josué ; il n’omit rien de tout ce que l’Éternel avait commandé à Moïse.
Il n’y eut aucune ville qui fit la paix avec les fils d’Israël, excepté les Héviens qui habitaient Gabaon ; ils les prirent toutes par la guerre.
Car ce fut de par l’Éternel que leur cœur fut endurci pour s’en aller en guerre contre Israël, afin qu’il les détruisit entièrement sans qu’il y eût pour eux de merci ; car c’était afin de les détruire, comme l’Éternel l’avait commandé à Moïse.
Josué, 21, 8-12 :
Et ils dirent : y a-t-il quelqu’un d’entre les tribus d’Israël qui ne soit pas monté vers l’Éternel à Mitspa ? Or voici, aucun homme de Jabès de Galaad n’était venu au camp, à la congrégation.
Et le peuple fut dénombré : et voici, il n’y avait là aucun homme des habitants de Jabès de Galaad.
Et l’assemblée y envoya douze mille d’entre les vaillants hommes, et on leur commanda, disant : Allez, et frappez les habitants de Jabès de Galaad par le tranchant de l’épée, et les femmes et les enfants.
Et voici ce que vous ferez : vous exterminerez tout mâle, ainsi que toute femme qui aura eu compagnie d’homme.
Et ils trouvèrent parmi les habitants de Jabès de Galaad quatre cents jeunes filles vierges qui n’avaient point connu d’homme en couchant avec lui ; et ils les amenèrent dans le camp, à Silo, qui est dans le pays de Canaan.
Samuel I, 15:3 :
Va maintenant, et frappe Amalek, et vous détruirez entièrement tout ce qui est à lui, et tu ne l’épargneras pas, mais tu feras mourir les hommes et les femmes, les enfants et ceux qui tètent, les bœufs et les moutons, les chameaux et les ânes.