bravo à rachida dati

addine69 a écrit:

je dirais que être français, c'est manger une bonne choucroute.

Ca, ca m'etonnerait, car dans une bonne choucroute il y a du halouf, et en tant que bon musulman, tu ne mangeras qu'une choucroute halal, ce qui ne fait plus de toi un veritable francais  

Et zut je suis un véritable français alors... Vu que je mange de la vraie choucroute

Tiens au fait, Addine, vous avez répondu pour tout le monde sauf pour vous, du coup, je vous pose de nouveau cette question qui visiblement vous met dans l'embarras : Addine, pour vous, c'est quoi être français ?

hebert a écrit:

Tiens au fait, Addine, vous avez répondu pour tout le monde sauf pour vous, du coup, je vous pose de nouveau cette question qui visiblement vous met dans l'embarras : Addine, pour vous, c'est quoi être français ?

Demandez donc à Boutin.

Et très sincèrement je ne comprends pas vôtre question.

Vous dites que vous êtes français, mais en le disant vous ne comprenez pas ce que cela veut dire ?
Hum...

Si être français c'est savoir écrire sans faute d'orthographe,Addine et moi sommes disqualifiés.   

Hebert,

Bon je ne sais pas ce que être français veut dire, auriez-vous l'amabilité de me le dire.

Voilà, je vous ai répondu.

Jacky,

Citation :

Si être français c'est savoir écrire sans faute d'orthographe,Addine et moi sommes disqualifiés

C'est bien le dernier de mes soucis aujourd'hui et le premier de mes soucis pour mes enfants. 

Je connais par contre autour de moi des personnes qui même un train de vie extraordinaire, toujours entre deux avions, le compte toujours garnit (5), chef d'entreprise et incapable d'écrire sans faire de faute d'orthographe. 

Ils m'ont toujours dit, l'essentiel est d'être intelligent, et cette qualité ne s'apprend pas.

Etre français (ou marocain ou espagnol ou turc...) c'est l'être d'abord aux yeux des autres.

Moi je suis marocain parce que personne ne m'a jamais pris pour autre chose.

Par contre, même si Addine est français, aux yeux des autres, il ne l'est pas vraiment.

Un français de confession juive, même s'il est français depuis la nuit du temps, ne sera jamais un français à 100% pour les "français".


Pour devenir français, il faut d’abord franciser le nom et le prénom, adopter les mœurs locales, se convertir au christianisme et attendre plusieurs générations.

En fait ce sont vos arrière-arrière-arrière petits enfants qui seront enfin français aux yeux des autres qui ne savent pas que leurs ancêtres ne l’étaient pas.

Et vous, vous avez le droit de prendre Alphonse ou Léopold comme prénom si ça vous chante, Casasport?  

Trinita a écrit:

Et vous, vous avez le droit de prendre Alphonse ou Léopold comme prénom si ça vous chante, Casasport?  

Je n'ai pas très bien compris votre question.

Est-ce qu'il est interdit en France de changer de nom et de prénom ?

on a le droit, on fait une demande, un decret est pris et publié au journal officiel

casasport a écrit:

Trinita a écrit:

Et vous, vous avez le droit de prendre Alphonse ou Léopold comme prénom si ça vous chante, Casasport?  

Je n'ai pas très bien compris votre question.

Est-ce qu'il est interdit en France de changer de nom et de prénom ?

Je vais la reposer alors..

Avez vous le droit en tant que Marocain de prendre un prénom chrétien, dans votre pays ou en Europe?  

Trinita a écrit:

Avez vous le droit en tant que Marocain de prendre un prénom chrétien, dans votre pays ou en Europe?  

???

Là n'est pas la question !! Pourquoi un marocain au Maroc ou en Europe prendrait-il un prénom chrétien ???

La question est: c'est quoi être français ??

Un très très bon français qui s'appelle Mouloud aura toujours des difficultés à se faire prendre pour un français par les "français" ! C'est une réalité !

En plus je ne dis pas aux gens: changer de prénom ! Je n’expose pas ma façon de voir le monde dont vous n’en avez rien à fiche ! Je réponds juste à une question : un français est une personne vu comme tel par les autres français et cela peut passer par un changement d’identité, de religion, de mœurs, de vestimentaire (on ne se promène pas en djellaba s’il vous plait, ni en survêtement !).

casasport a écrit:

Trinita a écrit:

Avez vous le droit en tant que Marocain de prendre un prénom chrétien, dans votre pays ou en Europe?  

???

Là n'est pas la question !! Pourquoi un marocain au Maroc ou en Europe prendrait-il un prénom chrétien ???

La réponse est "parce que cela lui est interdit.

casasport a écrit:

La question est: c'est quoi être français ??

C'est de choisir le prénom ou la religion qu'on veut, et eventuellement en changer.

casasport a écrit:

Un très très bon français qui s'appelle Mouloud aura toujours des difficultés à se faire prendre pour un français par les "français" ! C'est une réalité !

De toutes façons il n'a pas le choix, s'il possède la double nationalité, il est obligé de s'appeller Mouloud.

 

casasport a le don d'éluder les questions genantes

adm-janine a écrit:

casasport   a  le don d'éluder les questions genantes

Quelles questions gênantes ?

Dites-moi lesquelles et je vous promets que je répondrais sans détours.

Trinita me demande si un marocain au Maroc a le droit de prendre un prénom chrétien. Bien sûr que non. Seuls les noms arabes pour les musulmans et les noms hébreux pour les juifs sont acceptés par les officiers de l'état civil.

Mais là n'était pas notre problème.

Le problème était c'est quoi un français (ou un marocain au Maroc) ?

Un français (ou un marocain au Maroc) est français à partir du moment ou il peut se fondre dans la masse. C'est une définition simple certes mais qui correspond à la réalité sur le terrain.

On rappellera toujours à un Mouloud ses origines même s'il est français depuis trois ou quatre générations. Tout simplement parce qu'il s'appelle Mouloud et non pas Jean-Luc.
D’où la stupidité de la question de Trinita. Pourquoi un marocain vivant au Maroc s’appellerait-il Jean-Charles alors que le but est d’être considéré comme un marocain ?

Ceci dit, moi je n’encourage personne à changer d’identité ou de culture. Je suis même contre.  Mais il y a une différence immense entre les idéaux, les théories, les "ce qu’il faut" et.... la réalité sur le terrain.

La guerre est moche, tout le monde est d’accord là-dessus mais tout le monde continue à se faire la guerre.

casasport a écrit:

adm-janine a écrit:

casasport   a  le don d'éluder les questions genantes

Quelles questions gênantes ?

Dites-moi lesquelles et je vous promets que je répondrais sans détours.

Trinita me demande si un marocain au Maroc a le droit de prendre un prénom chrétien. Bien sûr que non. Seuls les noms arabes pour les musulmans et les noms hébreux pour les juifs sont acceptés par les officiers de l'état civil.

Mais là n'était pas notre problème.

Le problème était c'est quoi un français (ou un marocain au Maroc) ?

Un français (ou un marocain au Maroc) est français à partir du moment ou il peut se fondre dans la masse. C'est une définition simple certes mais qui correspond à la réalité sur le terrain.

On rappellera toujours à un Mouloud ses origines même s'il est français depuis trois ou quatre générations. Tout simplement parce qu'il s'appelle Mouloud et non pas Jean-Luc.
D’où la stupidité de la question de Trinita. Pourquoi un marocain vivant au Maroc s’appellerait-il Jean-Charles alors que le but est d’être considéré comme un marocain ?

Ceci dit, moi je n’encourage personne à changer d’identité ou de culture. Je suis même contre.  Mais il y a une différence immense entre les idéaux, les théories, les "ce qu’il faut" et.... la réalité sur le terrain.

La guerre est moche, tout le monde est d’accord là-dessus mais tout le monde continue à se faire la guerre.

Tout à fait.

C'est pourquoi je préconise de n'autoriser que les prénoms judéo chrétiens, au ressortissants naturalisés ou nés en France des pays qui refusent d'accorder le droit à l'apostasie ou celui de choisir son prénom.

C'est de bonne guerre.  

Trinita,

C'etait vrai en France jusqu'aux annees 60. Puis il y eut un Breton qui se mit en tete d'appeler son enfant par un prenom de son terroir. Le fonctionnaire de l'Etat-Civil refusa, mais notre homme alla jusqu'au Conseil d'Etat qui lui rendit justice. Des lors, ce fut l'avalanche.