Les oriflammes sont rangées pour quelques décennies. Les journalistes des médias nationaux, peuvent sans mentir reprendre leur petit train train d'information traitée, pour ne pas dire manipulée.
La tente bédouine de Khadafi plantée au cœur de Paris a donné cours à un déferlement d'images exotiques. Information, voyeurisme tapageur ou simple maelström malsain de tout cela à la fois ?
Constatons simplement que le masque impénétrable du grand homme impliqué à la Commission des Droits de l'Homme à l'ONU eut droit à des reportages colorés en permanence. Privilège refusé au visage comme aux discours d'un Prix Nobel de la paix en visite d'Etat. Pourquoi ? Parce que tout bêtement Israélien !
Cette visite d'Etat, occultée et boudée des médias, m'aura pourtant procuré des instants de bonheur non dissimulé.
Bonheur du cœur et de la vue, d'un Paris largement pavoisé du tricolore des droits de l'Homme mêlé à l'étoile de l'Espoir, l'étoile de la Hatikva.
Bonheur du cœur et de l'amitié chaleureuse et sans façons, vécu à chacune des rencontres officielles, à l'Hôtel de Ville de Paris, au Salon du Livre, comme au Palais des Congrès. Ces rencontres ont donné lieu à une profusion de mots à défaut d'images.
Langue hébraïque en vers comme en prose, traduite avec son habituelle maestria par l'interprète officielle de l'Etat d'Israël.
Des discours dont nous ne résistons pas au plaisir de retenir quelques phrases fortes
http://www.primo-europe.org/selection.php?numdoc=Tr-333723688