livre: conversation sur les sujets qui fachent

http://janine.sefarad.org/cinema.php/id/279/

Hier soir dans l'émission de Ruquier
il y avait Robert Redeker qui après avoir osé
des critiques sur l'Islam vit sous la menace!
Au lieu de défendre la liberté d'expression
le plateau et Ruquier en tête affichait un masque
de dégout à l'égard de ce philosope qui osait
attaquer cette religion!
le seul qui l'a défendu énergiquement
est Eric Zemourqui me parait tjs juste
dans ses interventions!
Quel est ce pays qui hurle dès qu'on touche
aux droits de l'homme mais qui est incapable
de défendre la dignité des musulmanes esclaves
sous leur voile!

je l'ai pas vu, mais je le visionnerais.

Fallait pas s'attendre à autre chose. Un juif devant un tribunal antisiomite!

C'était aussi dérisoire que si un juif était allé dialoguer avec Radio Paris en 1942.

La libération est encore à venir, contre la LPU.

ce qui m'a interessé
c'est pas tant les propos tenus
que l'attitude du plateau
prêt à hurler au racisme
à chaque phrase!
le public paraissait sous contôle
faibles huées ,faibles applaudissements!

je vient de lire l'article de redeker...
et je trouve tout ce qui dit juste est pertinent.
je comprend pas, cela m'échappe. en quoi son articles mérite les menaces de mort?
pauvres monde

oui!
ils représentent la France métissée
et le politiquement correct
est imposé!

De toute façon, la télé aujourd'hui n'existe que pour faire de la promo.
Chaque invité est là pour présenter sa camelote... C'est ni plus ni moins de la pub à tout va que salue l'audimat.

Vous savez bien que les présentateurs sont sur des sièges éjectables et qu'ils ne veulent prendre aucun risque.

Regardez le soutien dont à pu bénéficier Pascal Sevran pour avoir dit dans son livre tout haut, ce que l'on pense tout bas. La chaîne qui fut la sienne,
ne lui fit pas de cadeau. Il aura fallu qu'il se décide à mourir en accéléré pour avoir tant souffert par cette bassesse, qu'il fut reconnu que ce n'est pas le cancer seul qui l'aura si vite emporté.

C'est Delon qui sut dénoncer tout le mal qu'on lui a fait.
On ne peut pas dire dans son cas, que c'était de l'antisémitisme...
C'est pour dire que les mouches à m... peuvent être universelles.

*

Il y a des choix politiques. Et des contantes comme le soulignent Janine et Aviva.

Anzool le débat porte sur la liberté de penser !

*

*

quand on arrive à avoir une
equipe de France de football
composée presque exclusivement d'Africains
on se dit que dans 15ans la France
aura perdu sa culture et son ame
Le métissage dans un pays doit respecter
un pourcentage de métis inférieur!
et comme tu dis oui!
VIVE LA FRANCE

C'est Delon qui sut dénoncer tout le mal qu'on lui a fait.
On ne peut pas dire dans son cas, que c'était de l'antisémitisme...
C'est pour dire que les mouches à m... peuvent être universelles.

L'antisémitisme n'est qu'un des aspects de la pensée unique véhiculée par les médias.

Sarkozy a négligé de faire la nécessaire épuration des médias, et de clouer le bec aux propagandistes mitterrando-chirakiens islamolâtres.
Il n'a réalisé son erreur que bien trop tard.

Espérons qu'il n'est pas TROP tard pour lui.

Je pense que les animateurs des chaînes publiques doivent se plier à des " cahiers des charges '" tout comme les forumeurs doivent observer le réglement sur lequels ils se sont engagés. A la différence près, que le forumeur lui, ne risque pas son job.

Je serais étonnée que l'antisémitisme, la complaisance, le conformisme, la sottise, figurent en toutes lettres dans le cahier des charges.

Cormo,

Je ne me tiens pas suffisamment au courant
Mais au lieu d'insister sur tout ce qui va mal,
je pense que l'on pourrait donner plus d'éclairage
sur ceux qui se battent contre l'antisémitisme,
ne serait-ce que pour les remercier d'exister.
comme ce fut le cas pour le philosophe catholique
Jacques Maritain marié à une juive.
C'est fou, mais comme je l'ai déjà dit ici-même,
de ces êtres d'exception, tu ne nous en parle guère.

Il y a les urgences au présent.

c'est vrai que les médias
sont si lâches que leur tâche consiste à
-cracher sur Sarkosy
-montrer un antisionnisme viscéral
-respecter et défendre l'Islam
(femmes voilées,lapidées,brulées,violées,
exciser)
on ne parle jamais de ça de peur de paraitre raciste!
Autrefois la presse était libre et scandaleuse
maintenant son art consiste à être
un bon lècheur de babouches

*

Benadette,

Vous savez, je suis loin de connaître le contenu d'un de ces " cahier des charges " pour partir sur des certitudes, je ne peux que rester prudente.

Maintenant, nous savons très bien que les émissions les plus dérangeantes comme celles avec Ardisson et Fogiel étaient très regardées malgré l'antipathie révélée pour ces deux personnages. Le but recherché étant l'audimat.

jacqueline a écrit:

Cormo,

Je ne me tiens pas suffisamment au courant
Mais au lieu d'insister sur tout ce qui va mal,
je pense que l'on pourrait donner plus d'éclairage
sur ceux qui se battent contre l'antisémitisme,
ne serait-ce que pour les remercier d'exister.
comme ce fut le cas pour le philosophe catholique
Jacques Maritain marié à une juive.
C'est fou, mais comme je l'ai déjà dit ici-même,
de ces êtres d'exception, tu ne nous en parle guère.

ah non, pas Jacques Maritain - d'ailleurs, il n'était pas marié à une Juive, puisqu'elle est devenue chrétienne.

Citation :

c) Maritain
Quant
à Maritain, ce n’est ni en philosophe ni en théologien, mais en
humaniste chrétien qu’il prit fait et cause pour le peuple juif. Après
avoir partagé quelque temps les conceptions chrétiennes traditionnelles
sur le rejet et l’humiliation éternelles des juifs incrédules, il fut
le premier et, à l’époque, le seul intellectuel chrétien, à combattre
sans merci l’antisémitisme social et politique et l’antijudaïsme
chrétien. Ses déclarations courageuses en faveur des juifs pourchassés
et persécutés sont, à juste titre, restées classiques (87).

Toutefois,
pour l'objectivité historique, il semble utile de rapporter ici ces
lignes extraites d’un article intitulé “À propos de la «question
juive»” (88), que le philosophe écrivit en 1921, et qui sont d'une
veine moins heureuse (89) :

«La question juive présente deux aspects : un aspect politique et social, et un aspect spirituel ou théologique.
I.
Au premier point de vue, la dispersion de la nation juive parmi les
peuples chrétiens pose un problème particulièrement délicat. Sans doute
bien des juifs – ils l’ont montré au prix de leur sang pendant la
guerre – sont vraiment assimilés à la patrie de leur choix; la
masse du peuple juif reste néanmoins séparée, réservée, en vertu même
de ce décret providentiel qui fait de lui, tout au long de l’histoire,
le témoin du Golgotha. Dans la mesure où il en est ainsi, on doit
attendre des juifs tout autre chose qu’un attachement réel au bien
commun de la civilisation occidentale et chrétienne.
Il faut ajouter qu’un
peuple essentiellement messianique comme le peuple juif, dès l’instant
qu’il refuse le vrai Messie, jouera fatalement dans le monde un rôle de
subversion, je ne dis pas en raison d’un plan préconçu, je dis en
raison d’une nécessité métaphysique, qui fait de l’Espérance
messianique, et de la passion de la Justice absolue, lorsqu’elles
descendent du plan surnaturel dans le plan naturel, et qu’elles sont
appliquées à faux, le plus actif ferment révolutionnaire (90)[…] Je n’insiste pas sur le rôle énorme joué par les financiers juifs et par les sionistes dans l’évolution de la politique du monde pendant la guerre et dans l’élaboration de ce qu’on appelle la paix. De
là, la nécessité évidente d’une lutte de salut public contre les
sociétés secrètes judéo-maçonniques et contre la finance cosmopolite,
de là même la nécessité d’un certain nombre de mesures générales de
préservation (91)qui étaient, à vrai dire, plus aisées à déterminer au temps où la civilisation était officiellement chrétienne[…] mais
dont il ne paraît pas impossible de trouver l’équivalent aujourd’hui
surtout que le sionisme, en créant un État juif en Palestine, semble
devoir mettre les juifs dans l’obligation d’opter, les uns pour la
nationalité française, anglaise, italienne, etc. – les autres pour la
nationalité palestinienne, qu’ils aillent résider en Palestine, ou
qu’ils demeurent dans les autres pays à titre d’étrangers. […]
II.
J’arrive maintenant au second aspect de la question juive, à l’aspect
spirituel ou théologique, qui concerne la vocation du peuple juif, et
que je me permets de souligner, parce qu’il est trop oublié. Si antisémite qu’il puisse être
à d’autres points de vue, un écrivain catholique, cela me paraît
évident, doit à sa foi de se garder de toute haine et de tout mépris à
l’égard de la race juive […] Si dégénérés que soient les juifs charnels,
la race des prophètes, de la Vierge et des apôtres, la race de Jésus
est le tronc où nous sommes entés [allusion à Rm 11]… Plus la question
juive devient politiquement aiguë, plus il est nécessaire que la
manière dont nous traitons de cette question soit proportionnée au
drame divin qu’elle évoque; il est incompréhensible que des écrivains
catholiques parlent sur le même ton que Voltaire de la race juive et de
l’Ancien Testament, d’Abraham et de Moïse.
Au
surplus, deux faits fort importants, que je voudrais vous signaler pour
terminer, s’imposent ici à notre considération. Le premier, c’est le
nombre relativement grand et en tout cas vraiment impressionnant, des
juifs qui depuis quelques temps se convertissent au catholicisme […] Jamais la conscience religieuse des juifs n’avait encore paru si fortement ébranlée.
Le second fait, c’est l’extraordinaire élan de prière qui se produit
dans l’Église, pour Israël, et dont ces conversions sont précisément le
fruit [Et Maritain de donner plusieurs exemples de célèbres convertis
et d’évoquer le projet, d’une Supplique pour les Hébreux, qui serait
soumise à la ratification des Pères du Concile Vatican I, alors tout
près d’être convoqué. Et de prôner la multiplication des associations
de prières et la multiplication des neuvaines et des messes pour la
conversion des juifs] …
Et c’est ainsi que l’Église, pressée par sa charité, et malgré
cette sorte d’horreur sacrée qu’elle garde pour la perfidie de la
Synagogue, et qui l’empêche de plier les genoux lorsqu’elle prie pour
les juifs le Vendredi saint, c’est ainsi que l’Église continue et répète parmi nous la clameur : Pater dimitte illis
[Père pardonne-leur] de Jésus crucifié. Il me semble qu’il y a là une
indication dont les écrivains catholiques ne peuvent pas ne pas tenir
compte. Autant ils doivent dénoncer et combattreles juifs dépravés qui mènent avec des chrétiens apostats, la Révolution antichrétienne,
autant ils doivent se garder de fermer la porte du royaume des cieux
devant les âmes de bonne volonté […] Il y a là un cas éminent où nous
sommes tenus, ce qui n’est pas toujours facile, d’unir dans l’intégrité
de la vie chrétienne deux vertus contraires en apparence : d’unir à la juste défense des intérêts de la citél’amour
surnaturel sans lequel nous ne méritons pas notre nom de chrétiens, et
qui est le domaine propre, je ne dis pas de l’internationalisme
catholique, je dis de la catholicité supranationale.»

anzool a écrit:

*

moi, Anzool, je ne suis pas aryenne, sur ce forum il y a peu d'aryens. Si c'est ta philosophie, je te conseille de retirer ton message pro-nazi, et d'aller voir ailleurs si nous y sommes.

Bernadette,

Mais justement en parlant davantage de ceux qui défendent le judaïsme et les Israélien, ça peut faire boule de neige par répercution positive,
alors que si l'on met tout son temps passer des articles détestables, ceux-ci aussi peuvent faire boule de neige en entraînant encore plus de comportements similaires.

Je suis viscéralement supersticieuse en pensant que la haine ne peut qu'attirer la haine, idem pour la violence.

Alors que des paroles d'apaisement, ont pour ma croyance, le même pouvoir.

Lorsque l'on a l'habitude de dire " si D.ieu veut ".... on devrait penser aussi à ce que nous voudrions pour que Lui soit d'accord.