OTAGE:Guilad Shalit 25 JUIN 2006/ 1600 jours

Dossier Shalit : le Premier ministre rencontre Ehoud Olmert

Le Premier ministre Binyamin Netanyahou a demandé à s'entretenir avec son prédécesseur, Ehoud Olmert, la semaine dernière au sujet du dossier Shalit. Les deux hommes ont discuté de la question d'un échange de prisonniers pour la libération du soldat captif.

http://www.guysen.com/news_Dossier-Shalit-le-Premier-ministre-rencontre-Ehoud-Olmert_259030.html

Dossier Shalit : Israël "est parvenu à la limite extrême des concessions"

Un haut responsable israélien ayant requis l'anonymat, a déclaré lors d'un entretien accordé au quotidien Yediot Aharonot que le Premier ministre Binyamin Netanyahou "est parvenu à la limite extrême des concessions" exigées par le Hamas qui tient captif le soldat Guilad Shalit. "Le chef du gouvernement n'entend pas permettre à des terroristes impliqués dans des attaques sanguinaires de retourner dans leurs foyers au risque de remettre en danger la vie d'Israéliens", a-t-il ajouté.

http://www.guysen.com/news_Dossier-Shalit-Israel-est-parvenu-a-la-limite-extreme-des-concessions-_259009.html

menaces sur la vie de shalit

http://www.juif.org/blogs/20752,menaces-du-flplp-sur-gilad-shalit-sa-vie-n-est-pas-garantie.php

sondage


http://www.crif.org/index.php?page=articles_display/detail&aid=18186&artyd=5

1297 jours

1300 jours de détention.

https://www.youtube.com/watch?v=yurA_zC18_c&feature=player_embedded

https://www.youtube.com/watch?v=-T3zsLzSX6A&NR=1

http://newsletter.crif.org/click.php?u=35086&e=791&p=http://www.crif.org/index.php?page=articles_display/detail&aid=18365&artyd=96

le hamas a besoin de temps

http://www.crif.org/index.php?page=articles_display/detail&aid=18378&artyd=96

Noam Shalit : "faites tout ce que vous pouvez pour que mon fils revienne à la maison"

Le père de Guilad Shalit a chargé Ayoob Kara, vice-ministre israélien du développement du Neguev et de la Galilée, de transmettre au cheikh turc Adnan Oktar une demande d'aide dans les négociations visant à libérer son fils car selon lui "les religieux peuvent plus que les politiques". En retour, le dignitaire turc a répondu : ""Ce jeune soldat est notre enfant, et nous déplorons son enlèvement, mais nous déplorons aussi le sort de nos frères palestiniens emprisonnés". Il s'est par ailleurs dit prêt à "établir une communication avec toutes les parties".

http://www.guysen.com/news_Noam-Shalit-faites-tout-ce-que-vous-pouvez-pour-que-mon-fils-revienne-a-la-maiso_260835.html

Les parents de Guilad Shalit rencontrent Hagaï Hadass

Noam et Aviva Shalit, les parents du soldat franco-israélien captif du Hamas depuis 3 ans, rencontrent à Tel-Aviv, Hagaï Hadass, le responsable israélien chargé des négociations pour sa libération. Ils devraient demander des clarifications après les dernières informations contradictoires sur l'état des tractations avec le Hamas.

http://www.guysen.com/news_Les-parents-de-Guilad-Shalit-rencontrent-Hagai-Hadass_261221.html

Dossier Shalit : le Hamas impute l'échec à Israël

Le leader du mouvement terroriste du Hamas, Khaled Meshaal, a réaffirmé la position de son organisation : "Shalit ne rentrera pas chez lui avant la libération de nos prisonniers et prisonnières". "Ce sont les manipulations israéliennes qui ont fait échouer l’échange de prisonniers. Benjamin Netanyahu est responsable de cet échec, tout comme le fut Ehud Olmert avant lui", a-t-il ajouté.

http://www.guysen.com/news_Dossier-Shalit-le-Hamas-impute-l-echec-a-Israel_261171.html

Guilad Shalit : les pourparlers reprendraient avec une médiation française
Selon le journal égyptien al-Mesryoon, les négociations pour la libération du soldat israélien enlevé en 2006 pourraient reprendre la semaine prochaine avec une médiation égyptienne et allemande. Il serait également question d'une intervention française, Guilad Shalit possédant cette nationalité

http://www.upjf.org/actualitees-upjf/article-17753-130-5-guilad-shalit-pourparlers-reprendraient-mediation-francaise.html

http://www.juif.org/diplomatie-moyen-orient/119852,la-france-nouveau-mediateur-dans-l-affaire-shalit.php

normal que la France s'en mêle il est français/israélien

Pensées pour Guilad et sa famille.
1314 jours

adm-janine a écrit:

menaces sur la vie de shalit

http://www.juif.org/blogs/20752,menaces-du-flplp-sur-gilad-shalit-sa-vie-n-est-pas-garantie.php

ce n'est jamais garanti avec eux ; les otages qui ont été rendu la dernière fois devaient être en vie, mais ils ont une parole de pute. Les israéliens n'ont retrouvé que des cadavres.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/02/02/01011-20100202FILWWW00355-shalit-negociations-interrompues.php

Les militants pro-Shalit veulent empêcher les visites aux détenus palestiniens

Des dizaines de militants du collectif de ''l'armée d'amis pour la libération de Guilad Shalit'' se sont réunis devant le pénitencier Hadarim où ils comptent empêcher les familles de détenus palestiniens de rendre visite à leurs proches.

http://www.guysen.com/news_Les-militants-pro-Shalit-veulent-empecher-les-visites-aux-detenus-palestiniens_263215.html

1336 jours

Des arabes israéliens manifestent pour la libération de Gilad Shalit

http://www.soutienfrancais-a-guiladshalit.com/

OTAGE:Guilad Shalit 25 JUIN 2006 (1345 jours)

1351 jours de détention pour Guilad

Noam Shalit demande l’aide d’Amnesty International



Noam Shalit, le père de Gilad Shalit, a appelé l’organisation Amnesty Internation à l’aider à libérer son fils de sa captivité par le Hamas : «Je m’attends à ce que vous appeliez à la libération immédiate de Gilad dans le cadre de vos entretiens avec le Hamas. »
Photo : D.R.

Source : Yedioth Aharonot



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John Holmes appelle à la libération immédiate de Gilad Shalit



Le Secrétaire général adjoint des Nations Unies aux affaires humanitaires, John Holmes, est arrivé dimanche 1^er mars 2010 en Israël pour une visite de quatre jours. Il s’est rendu mercredi 3 mars à Tel-Aviv et à Jérusalem, au lendemain d’une visite à Gaza. Lors d’une conférence de presse, John Holmes a insisté sur le « caractère inacceptable du blocus à Gaza ». Il a aussi rappelé le cas de Gilad Shalit, et appelé à sa libération immédiate.


http://www.soutienfrancais-a-guiladshalit.com/

Merci à guysen de nous donner des nouvelles.

G.Shalit serait correctement traité selon cet ancien chef militaire du Hamas
Abdullah Barghouti, ancien dirigeant de l'aile militaire du Hamas à Gaza, s’est adressé ce dimanche 7 mars à la famille de Gilad Shalit, et a déclaré : « Je souhaite dire à sa famille qu’il est en bonne santé. Il a de la nourriture, une chambre, et nous ne maltraitons pas notre prisonnier ».


Barghouti a poursuivi en accusant le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou de tenter de saboter l'échange de prisonniers entre le Hamas et Israël.


« L'accord ne sera pas conclu parce que Netanyahou ne veut pas d'un accord », a déclaré Barghouti. « Chaque jour je prie Dieu pour qu'il y ait un accord, mais M. Netanyahou n’en veut pas », a-t-il poursuivi. « Noam Shalit le sait mais a peur de le dire. »

Abdullah Barghouti a été mentionné comme l'un des hauts responsables du Hamas emprisonnés en Israël qui pourraient être libérés dans le cadre de l'échange.

Barghouti est condamné pour 67 condamnations à perpétuité après avoir été reconnu coupable en 2003 de préparer des attentats terroristes dans lesquels 66 Israéliens ont été assassinés et des centaines blessés, y compris l'attaque contre un restaurant Sbarro, à Jérusalem.
http://www.guysen.com/topnews_Gilad-Shalit-En-bonne-sante_343.html

	Article: Dossier Shalit: la proposition du gouvernement israélien, depuis 3 mois sans rép
	Article: Guilad Shalit toujours otage: la faute aux Américains?
	Article: Dossier Shalit: Fin des négociations entre le Hamas et Israël?

http://www.guysen.com/topnews_Gilad-Shalit-En-bonne-sante_343.html

Article: Libération de détenus palestiniens : la sécurité d’Israël en question

OTAGE:Guilad Shalit 25 JUIN 2006 (1353 jours)

http://www.guysen.com/articles.php?id=12223



Le 25 juin prochain, cela fera quatre ans que Gilad Shalit est retenu entre les mains du Hamas dans la Bande de Gaza. Quatre ans que ce soldat de 24 ans attend que ses geôliers aboutissent à un accord de libération avec Israël. Fin décembre dernier, des négociations entre les deux parties sont activement menées à travers la médiation de l’Egypte et de l’Allemagne. Mais depuis cette date, le dossier Shalit a laissé place à l’éternelle tentative de reprise du processus de paix entre Israéliens et Palestiniens. Un autre dossier, une autre échéance, et des résultats tout aussi incertains. Shalit n’a pas été oublié, mais l’équilibre des forces en présence a irrémédiablement conduit au report de sa libération. A une date encore inconnue.



Le 21 décembre dernier, les négociations sur la libération du soldat Shalit débutent entre Israël et le Hamas. Tandis que les réunions se succèdent au cabinet de sécurité de Benyamin Netanyahou, le Hamas n’hésite à faire monter les enchères. En jeu, la libération d’un millier de prisonniers palestiniens détenus en Israël contre la libération de Gilad Shalit. Israël accepte le principe d’une libération des détenus, à condition d’obtenir l’exil des plus dangereux d’entre eux. Au terme de quelques jours d’intenses tractations au sein du Hamas, le mouvement islamiste rejette la proposition israélienne le 30 décembre.

L’échec des négociations est à imputer au Hamas pense-t-on alors. Mais la situation est plus complexe. Comme souvent, les deux parties se renvoient tour à tour la responsabilité de cet échec. Interviewé le 2 février par la BBC, Mahmoud Zahar, le chef du Hamas à Gaza, estimait que les négociations ont été "interrompues" : "Après l'ingérence de Benyamin Netanyahou, il y a eu un énorme recul et un repli. C'est pour cette raison que tout a été interrompu". Hier, lundi 15 mars, le même Mahmoud Zahar accusait Israël d’avoir "torpillé" l’accord d’échange : "le changement d’attitude d’Israël a fait échouer la transaction" a-t-il jugé.

Israël et Shalit, ou le combat de la liberté contre la crédibilité


Depuis les dernières tentatives de négociations, Israël et le Hamas ne cessent donc de se renvoyer la balle. Mais en réalité, des résistances à la libération immédiate de Gilad Shalit existent dans les deux camps, qu’elles soient d’ordre sécuritaire, politique ou idéologique.

Du côté israélien, la situation est bien connue. A peine le gel provisoire des implantations décrété, Benyamin Netanyahou était appelé à prendre une autre décision contraire à ses positions traditionnelles, à savoir rogner la sécurité d’Israël en échange de la libération de Gilad Shalit. Un dilemme qu’il a tenté de résoudre en exigeant qu’une centaines de détenus palestiniens soient exilés. En vain.

Il était donc question de crédibilité vis-à-vis de lui-même, puis vis-à-vis de son pays. La libération de Gilad ne se fera pas « à n’importe quel prix » estime alors le gouvernement Netanyahou. Chaque demande supplémentaire du gouvernement dans les négociations apparaît donc comme une tentative de garantir cette crédibilité. Du côté du Hamas, cela est perçu comme un obstacle aux négociations.

Les prétentions des Etats-Unis pour le Proche-Orient


Pendant ce temps au Fatah, on se dit qu’un éventuel accord entre Israël et le Hamas aurait des conséquences désastreuses sur l’image et l’influence du Fatah dans les mois à venir. Les négociations de décembre dernier interviennent dans un climat hostile entre les deux organisations, et l’obtention par le Hamas de la libération d’un millier de prisonniers palestiniennes serait une victoire immensément importante pour une organisation que l’on dit en perte de vitesse dans la Bande de Gaza.

Or ce constat fait froid dans le dos des Etats-Unis. Privilégiant une échéance de long terme, l’administration du prix Nobel Obama est avant tout soucieuse de la reprise du processus de paix au Proche-Orient. Les mois suivants apporteront la preuve de ces ambitions sans doute trop optimistes (visites à répétition de George Mitchell, mise au point d’un plan de paix en janvier dernier ou instauration de pourparlers indirects au début du mois). Ainsi, selon certaines sources (voir l'article de Michaël Bloch sur le sujet), les officiels américains se seraient opposés à l’accord d’échange pour empêcher le Hamas d'obtenir une grande victoire politique, et par là même protéger le leadership de Mahmoud Abbas. Avec en point de mire la volonté de voir Israël et l’Autorité Palestinienne d’Abbas reprendre les négociations de paix.

La récente proposition américaine de mise en place de pourparlers de paix indirects est incluse dans l’agenda américain pour le Proche-Orient. Un agenda non seulement trop ambitieux, mais qui repose sur un constat erroné. Car l’organisation islamiste accorde peut-être moins d’importance à Gilad Shalit que l’on veut bien le croire.

Le Hamas, tiraillé entre pragmatisme et idéologie


En réalité, le Hamas est incapable aujourd’hui de parler d’une seule voix, d’où sa difficulté à se mettre d’accord sur un projet d’échange avec Israël. L’organisation est tiraillée entre son ailé la plus dure, personnifiée par Khaled Mechaal à Damas, et son pendant plus pragmatique, incarné par Mahmoud Zahar dans la Bande de Gaza.

Depuis Damas, Mechaal reste fermement opposé à tout accord avec Israël, et même avec le Fatah. Loin d’être un modéré, Zahar est en revanche convaincu de la nécessité d’un accord avec Israël. « De là à dire que le Hamas est extrêmement divisé et ne maitrise plus la Bande de Gaza, il y a un pas à ne pas franchir » estimait hier soir le journaliste de RFI Karim Lebhour, invité de Guysen Tv.

Car si la situation humanitaire dans la Bande de Gaza est toujours préoccupante, le Hamas peut encore se targuer de faire régner la sécurité sur son territoire. « Lorsque l’on va à Gaza aujourd’hui, on ne sent pas les problèmes sécuritaires que l’on sentait à l’époque où le Fatah gérait Gaza » souligne Karim Lebhour. L’organisation islamiste dispose donc encore d’une marge de manœuvre et accorde peut-être moins d’importance à Gilad Shalit que l’on veut bien le croire.

Alors qu’on la croyait acquise, la libération de Gilad Shalit n’est pas seulement dépendante du bon vouloir du gouvernement israélien, mais d’un équilibre des forces qui penche pour le moment du côté de la paralysie.