Bonjour

Salut manou!!

Merci à tous de votre acceuil!

accUeil

Chevat a écrit:

accUeil

yes!!!

je me plante tout le temps avec ce mot!!!

Je suis dislexique du "u" de l'accueil!

Anarchie a écrit:

guitl a écrit:

Anarchie a écrit:

ok!

beh tout pareil alors!!

tu es vraiment anar? un vrai? genre Bakounine ou un bobo anar?

si par "bobo anar", tu entends, un "anar" qui se declare anarchiste parce que c'est la mode en ce moment, je te répond non, car de plus je suis plutot outré de cette mode...l'anarchisme ce n'est pas seulement une apparence, c'est une philosophie, en résumé.

Si tu entends par là, que je suis un anarchiste issu d'un milieu petit bourgeois, je te réponds plutot oui (on ne choisit pas ou on nait!!) même si mes parents sont ouvrier et fonctionnaire... donc d'un milieu moins aisé que Bakounine lui-même en fait (qui etait issu lui du milieu de la petite noblesse russe)

Sinon, je m'apparentrait plus à Malatesta qu'a Stirner, au niveau de la pensée, car je ne suis pas fondamentalement attaché à l'individualisme...

je n'ai rien contre l'anarchie, mais il faut que ce soit clair :

Malatesta développe dans ses différents écrits des principes révolutionnaires anarchistes, tels le volontarisme, le gradualisme révolutionnaire et bien d'autres principes.

Stirner, Sa philosophie est un requisitoire contre toutes les puissances superieures auxquelles on se soumet contre son intérêt ; il exhorte chacun a s'approprier ce qui est en son pouvoir.

je n'aime pas le personnage de Bakounine ; je déteste ces fils de bourgeois qui condescendent à descendre jusqu'au peuple pour son bien être. Et puis Bakounine était antisémite, bonne raison pour que je le haïsse.

Pourtant c'est simple... les lettres c et e font le son [se]
le c et le u font le son [ku] voilou très jeune anarchie 

ben si tu commences à corriger les fautes, Chevat, avec moi tu n'as pas fini.

Georges Brassens se disait anarchiste pour ne se ralier à aucune
autorité pouvant nuire à son libre arbitre, mais il était loin d'être
un " individualiste " au sens " je roule pour moi et me tape bien
des autres " Cette anarchie là qui respecte le choix des autres,
je le respecte infiniment, car elle ne se laisse aucunement
influencer par tout ce qui est médiatique.
Si c'est une " anarchie " qui respecte les autres je peux m'y
apparenter aussi.

Mais non Guilt... Ya vé jusse te c'était reur

Haaaaaaaa Brassens et sa non demande en mariage, ca c'est quelque chose !

Bienvenue Anarchie !

BIENVENUE ANARCHIE !!!!AU FAITES ANRCHIE AVEC UN E OU SANS E JE TE DIS 9A POUR NE PAS ME MELANGER LES PINCEAUX
YOSSI

comme tous mes amis forumeurs je te souhaite la bienvenue chez séfarad,

Chevat,

Autre correction (je m'excuse): ta signature se traduit mot a mot:

Sante et Joie
Bonne Annee et Joyeuse Fete

Georges tu as parfaitement raison... J'ai confondu bérakha avec bériyot... Merci pour cette correction

bonsoir josette
nos belles sepharades sont presentent ce soir!!
nos achkhenaz sont d'une beautee autres !!
finalement nos juifs ont de la chance sur cette planete!!! yossi

yossi a écrit:

bonsoir josette
nos belles sepharades sont presentent ce soir!!
nos achkhenaz sont d'une beautee autres !!
finalement nos juifs ont de la chance sur cette planete!!! yossi

bonsoir yossi
que c'est joliment dit, quel charmeur tu fais,
je vois que tu es revenu ça fait plaisir

Merci à tous!!

Bonjour à tous!!!!

georges972 a écrit:

Chevat,

Autre correction (je m'excuse): ta signature se traduit mot a mot:

Sante et Joie
Bonne Annee et Joyeuse Fete

autre correction, on ne s'excuse pas soi-même ; "je m'excuse", si tu t'excuses tout seul....non, on dit "excuse(z) moi".
C'est Momo qui me corrige toujours à ce sujet, alors si vous n'êtes pas d'accord, je lui passerai le message.

guitl a écrit:

je n'ai rien contre l'anarchie, mais il faut que ce soit clair :

Malatesta développe dans ses différents écrits des principes révolutionnaires anarchistes, tels le volontarisme, le gradualisme révolutionnaire et bien d'autres principes.

Stirner, Sa philosophie est un requisitoire contre toutes les puissances superieures auxquelles on se soumet contre son intérêt ; il exhorte chacun a s'approprier ce qui est en son pouvoir.

je n'aime pas le personnage de Bakounine ; je déteste ces fils de bourgeois qui condescendent à descendre jusqu'au peuple pour son bien être. Et puis Bakounine était antisémite, bonne raison pour que je le haïsse.

Tu as bien raison, autant être clair dès le départ!

Par rapport à la pensée de Malatesta, je suis moins volontariste que lui, car je pense qu'on ne peut hierarchiser, donner une primauté de la volonté sur l'intelligence, et qu'elles sont etroitement imbriquées et indicossiable, dans le sens qu'une volonté sans intelligence me paraît dangereuse, et à l'inverse une intelligence sans volonté me parait inutile. Par contre je suis 100% en phase avec son gradualisme révolutionnaire, auquel j'adjoindrais personnellement la notion de non-violence! Ceci dans le sens ou je pense que, par définition, l'anarchisme ne peut s'imposer, donc il ne peut être question de "grand soir". Comment pourrait-on en restant fidèle à nos idéaux, imposer un système politique qui se base sur le fait que personne ne peut imposer quelque chose à quelqu'un?

Concernant Stirner, je suis à mille lieux de ce penseur, car je rejette toute forme d'individualisme mais on ne peut nier l'importance capitale de sa pensée sur la pensée de Nietzsche, pensée dont je me sens beaucoup plus proche dans l'esprit, même si tout n'est pas acceptable à mon point de vue dans ses théories! En tout cas on doit lui octroyer une des premières analyse dans l'histoire de la philosophie de la religion en tant que mode de pensée.

Concernant Bakounine, le penseur vaut mieux que l’écrivain, mais encore n’en faut-il pas exagérer le prix. Malgré sa haute intelligence et l’étendue de sa culture, Bakounine s’est montré peu capable de discipliner son esprit et d’ordonner une pensée naturellement abondante et touffue. Il a remué énormément d’idées, mais il en est assez peu, parmi elles, qui lui soient propres ; sa mission à lui, c’était de faire un sort aux idées des autres. Il a été par sa propagande un vulgarisateur de la plus rare puissance, - et ce n’est pas un médiocre éloge.

Concernant la condescendance et l'antisémitisme de Bakounine (je vais me faire un peu l'avocat du diable, je sais ) il ne faut pas oublier l'époque où il vit (1850)! A cette epoque les gens du "bas peuple" étaient encore majoritairement illetrés, et seule la bourgeoisie pouvait les aider dans leurs luttes, n'ayant pas eux-même l'instruction necessaire par eux-même pour mener à bien leur désirs. Cette "condescendance" etait donc nécessaire à l'epoque, mais je confirme qu'elle l'est moins à notre époque!

Concernant l'antisémitisme (indiscutable) de Bakounine, il faut pas oublier qu'au XIXe siècle, la gauche et la droite en fait la société toute entiére était gangrénée par l'antisémitisme. Ce qui n'excuse en rien, je te l'accorde, mais qui permet de replacer dans le contexte idéologique de l'époque...

les premiers pas de l'anarchisme, comme les premiers pas de tout mouvements et de toutes personne, ne sont pas exempts de reproches. Je pense que le principal est de le reconnaître et de l'assumer...

Momo a raison... et encore. Les âmes sensibles pourraient entendre 'excusez-moi' comme un ordre. Veuillez m'excuser plutôt... et encore. Il faudrait une pince à sucre.
Mais il y a un hic : la formule ne s'accommode pas du tutoiement.
Aïe !


...

jacqueline a écrit:

Georges Brassens se disait anarchiste pour ne se ralier à aucune
autorité pouvant nuire à son libre arbitre, mais il était loin d'être
un " individualiste " au sens " je roule pour moi et me tape bien
des autres " Cette anarchie là qui respecte le choix des autres,
je le respecte infiniment, car elle ne se laisse aucunement
influencer par tout ce qui est médiatique.
Si c'est une " anarchie " qui respecte les autres je peux m'y
apparenter aussi.

Effectivement, je suis plus proche de l'anarchisme d'un brassens ou d'un ferre que celle d'un ravachol...

Je considére que l'individualisme ("moi d'abord") et son corollaire le communautarisme ("on reste entre gens qui se ressemblent, on se mélange pas"), sont des générateurs de tension dans la société, étant donné qu'il crée des barriéres artificielles et arbitraires qui ne devraient pas être. Cela peut être percu comme un rejet de l'autre et de la frustration peut naitre l'agressivité!

Au contraire, moi je pense qu'il ne faut pas s'arreter aux differences, et qu'au contraire ce sont les differences qui peuvent nous permettre de nous enrichir. Sans les gommer, assumer et passer au dessus des differences, permet une meilleure comprehension entre les gens et surtout permet de contrer la désinformation dont on pourrait être auditeur!

Tu sais Anarchie, c'est un pseudo qui me fait imaginer
que l'ouverture d'esprit, doit être un qualité chez toi.
De sorte que tu dois t'éloigner de tout à priori quel qu'il soit.
Dans ce cas, je pourrais te rejoindre sur certains point,
Pour dire que le mal et le bien se partagent la place sur
terre, je raisonne il est rai à contre-courant.

bernadette a écrit:

Momo a raison... et encore. Les âmes sensibles pourraient entendre 'excusez-moi' comme un ordre. Veuillez m'excuser plutôt... et encore. Il faudrait une pince à sucre.
Mais il y a un hic : la formule ne s'accommode pas du tutoiement.
Aïe !


...

J'ai trouvé la parade, je dit "Scusi" à l'italienne, ou tout simplement "Pardon"

Guitl,

J'ai pris note. Merci pour la correction. Mes amities a Momo.

Anarchie,

Je ne sais pas d'ou j'ai pris cela, mais pour moi les anars ce sont les fouteurs de merde. Vois-tu, je suis un rescape de Mai 1968, et je garde des anars un tres mauvais souvenir. Et puis, ayant eu une mere communiste, tu peux t'imaginer que les anarchistes n'etaient pas les biens venus a la maison.
Je crois d'ailleurs que la Republique espagnole a perdu la guerre en tout premier lieu a cause des anarchistes et de leurs exces.

Mais ne vois pas dans ces remarques autres choses que le point de vue un peu partial je l'accorde du feru d'Histoire que je suis.

Joli scusi.
Généralement je dis désolée, ou oh pardon. Mais je crains de ne pas avoir l'air assez contrit. Et 'excuse-moi'. Aïe, pas toujours avec la bonne intonation.