infos de modia.org

Comme vous l'avez remarqué, je ne vous ai pas envoyé de bulletin de nouvelles depuis quelques jour. Pourquoi? Parce que ce qui dominait l'actualité était seulement, une fois de plus, les histoires judiciaires. Israël est autre chose. Et rien de neuf, nous le savons parfaitement: les démissions de Chefs de la police pour corruption de multiples façons, la nomination par le minidstre de l'Intérieur d'un remplaçant contesté immédiatement par tous puisque lui aussi était tombé dans ces affaires auparavant et qu'on ose le nommer cependant ce qui en dit long sur ce gouvernement. Et puis l'ex-ministre de la Justice inculpé pour faits que je ne rapporte pas et, à la dernière minute, le tribunal tente d'annuler toute accusation et de lui permettre de revenir à la politique: un système inqualifiable de copains. Et pendant ce temps, les pauvres petits délinquants sont en prison. Vraiment, ne perdons pas notre temps. Dans les sondages, le degré de confiance du public envers la police est au ras du sol.
Mais ce qui est beau dans le peuple d'Israël, c'est que tout cela est mis sur la table, analysé, débattu moralement. Comme le fait le Tanakh, la Bible.. Peu de peuples osent en faire autant.

- Sérieux: les services de renseignements déclarent que le Hesbollah, au Sud Liban a dépassé son niveau d'armement et de préparation d'avant la guerre. Olmert, Peres, le ministre de la Défense, tous déclarent que cela n'est que de la théorie puisqu'ils ne sont pas capable de l'utiliser. C'est ainsi qu'on a déjà failli perdre des guerres.- L'axe iranien-syrien se transforme de plus en plus en axe uniquement iranien et la puissance syrien s'évapore, laissant la place à l'empire iranien millénaire, coloré du chiisme. C'est l'axe panarabe qui s'effrite. Encerclement islamique, certes, mais de plus en plus divers car il y a tant de sortes d'islam et qui sont en guerre entre eux. N'oublions pas: l'Iran n'est pas arabe, et l'Egypte non plus. Beaucoup l'oublient.
- Si vous voulez découvrir ce que sont les discussions qui sont derrière les tampons de cachroute sur les produits, lisez ceci: http://www.nahalatshlomo.org:80/cheelot/cheelot.php?IDq=344 La discussion est apre mais courtoise. On appelle cela: lé chém chamayim", "dans le respect du Ciel".
- Le Monde écrit ceci: "Il est loin le temps où Mgr Jean-Marie Lustiger, archevêque de Paris converti du judaïsme, suscitait des débats houleux en Israël. En mars 2000, le voyage de Jean Paul II à Jérusalem a constitué un tournant. Mgr André Vingt-Trois, successeur du cardinal Lustiger à Paris, a été reçu, lundi 12 février à Tel-Aviv, avec les honneurs, par le gouvernement israélien. Initiative sans précédent, il conduit en Israël, pour quatre jours, un pèlerinage de 600 catholiques français. Comment concilier sécurité et éthique ? Sur cette question au coeur des controverses israéliennes, l'archevêque de Paris a débattu, lundi soir, à l'université de Tel-Aviv, avec Schlomo Amar, grand rabbin d'Israël, et Isaac Herzog, ministre". Il y a eu visite à Yad Va chem. C'est important la reconnaissance de la Choa, dans le passé, mais on pose le problème: au présent, nous devons vous mettre en cause car vous l'êtes ontologiquement pour l'idéologie chrétienne occidentale. On ne se permettrait pas à l'occasion de la venue en France ou au Canada ou aux USA d'ouvrir un débat sur ce thème et la politique du pays qui vous reçoit. 'houtspa, culot. Avec la collaboration des Israéliens toujours prêts à s'autoflageller dans ce que l'on appelle le dialogue.
Et cela s'est confirmé dans la suite du voyage: arrivés à Bethléem là où les Chrétiens persécutés fuient devant les attaques continues des Arabes "palestiniens", on s'en est donné à coeur joie en déplacant le problème et en accusant le bouc émissaire séculaire: le peuple Juif sous sa forme présente "Israel". Le même journal rapporte l'accord des Parisiens du dialogue et des Chrétiens de Palestine pour attaquer la politique dite immorale d'Israël accusée de faire de Bethléem une "ville clotûrée, isolée, coupée de sa ville-soeur, Jérusalem". Parfaite mauvaise "foi", puisqu'on est en théologie politique. Rien de changé en fin de voyage avec le passé traditionnel.
- Significatif. Un site musulman français par en guerre contre des pro-Sarkozy qui avaient puisé dans le Coran pour affirmer qu'il serait interdit de bruler les voitures d'autrui en France. A lire: http://www.editionsles12.com/la_fatwa_de_Sarkozy.pdf
- Nombreux sont les analystes qui remarquent la montée de l'opposition de la Russie envers les USA et la formation progressive d'un axe Russie-Iran. A suite et à ne pas oublier.
- Prières demandées pour des malades: Roger Messaoud ben Sultana, Giselle Devorah bat 'Hannah, Mazal bat Myriam.
- Un nouveau site retransmet de très nombreux "conférences" prisées du public français juif: Aqadem. Lien ici.
- Communiqué: "Enfants-soldats"
Association d’Israéliens originaires de France, nous avons suivi avec intérêt les compte-rendus de la Conférence qui s’est tenue à Paris, les 5 et 6 février 2007, pour dénoncer le fléau des enfants-soldats. Nous avons été surpris de constater, parmi les nombreux cas cités, un étrange oubli. Notre coin de terre est assurément, de toute la planète, l’un des plus couverts par les medias. Pourtant, pas une ligne, pas un mot, pour dénoncer la transformation des enfants en « bombes humaines » pratiquée au sein de l’Autorité Palestinienne, et revendiquée, leur sanglant attentat- suicide accompli, par le Hamas ou l’un ou l’autre mouvement. Des enfants à qui l’on inculque dès le plus jeune âge, à l’école comme dans les « camps de vacances », la haine du Juif, le culte du « martyre ». Des enfants que l’on nourrit du désir de devenir à leur tour un « shahid », de mourir en tuant le plus possible d’hommes, de femmes et d’autres enfants. Que l’on fait défiler le fusil à la main et photographie, à l’âge de la maternelle, non point avec leur nounours, mais bardés d’une ceinture ( heureusement encore factice) d’explosifs. Des enfants dont la mère se déclare fière d’apprendre qu’ils se sont fait déchiqueter, puisqu’ils ont semé la mort autour d’eux. Pourquoi ce sinistre recrutement d’enfants-tueurs, et leur horrible utilisation, semblent-ils avoir été oubliés ?
Dr Pierre Caïn. Président. Loge B’nai-Brith Robert Gamzon.
- Dans différents pays occidentaux, on remarque les tentatives de minoritaires de divers pays musulmans de plaider pour un islam tolérant et différent des extrêmistes qui ont le soutien des masses, apparemment.
- En Israël, on remarque la "palestinisation" de plus en plus accélérée de la population arabe israélienne, et son extrémisme envers Israël, et son désir d'êtres appelés Palestiniens en IsraËl et non pas Arabes israéliens. La clarification est claire chez eux, mais non pas dans l'extrême gauche israélienne d'Oslo et les mouvements comme Chalom Achchav qui se muent en antennes palestinienne d'attaques contre les représentants affirmés de l'IsraEl historique, religieux et identitaire, aux applaudissements des Arabes qui ne permettraient jamais à leurs propres confrères de collaborer avec l'ennemi; la peine encourue étant immédiate et définitive. Pourquoi des Juifs se disant de gauche comme les sionistes fondateurs sont ils devenus ainsi 50 ans après en Israël?
- Ce qui est des plus cocasses, c'est que c'est un Arabe américain qui inlassablement répète des vérités qu se refusent de voir ces personnages israéleins. Voici son discours,
"MYTHES DU MOYEN-ORIENT

par Joseph Farah, journaliste Arabe Américain
http://www.worldnetdaily.com le 11 Octobre 2000

La situation au Proche-Orient paraît simple pour tout le monde: les Palestiniens veulent une patrie et les Musulmans veulent le contrôle de sites qu'ils considèrent comme étant sacrés. Simple, non ?
Et bien, en tant que journaliste Arabe Américain qui s'est forgé une connaissance approfondie de la situation au Moyen-Orient, à force de commenter jets de pierres et tirs de mortiers, je peux aujourd'hui vous assurer que la justification de la violence et des émeutes ne trouve pas son origine dans la simple revendication palestinienne à une patrie, ni dans la volonté des Musulmans de contrôler des sites qu'ils considèrent sacrés.
Surpris ?
Alors comment expliquer qu'avant la guerre des Six-Jours en 1967, il n'y eu aucun mouvement sérieux de revendication d'indépendance palestinienne ?
" Avant 1967 ?" me direz-vous, "les Israéliens n'occupaient pas la Cisjordanie et la vieille ville de Jérusalem"
C'est vrai. Mais durant la guerre des Six-Jours, ce n'est pas des mains des Palestiniens, ni de Yasser Arafat qu'Israël conquît la Judée, la Samarie et Jérusalem Est. Ces territoires étaient de fait occupés par le Roi Hussein de Jordanie depuis 1948. A-t-on une seule fois demandé au souverain Hachémite de restituer ces territoires aux Palestiniens ? Est-ce qu'une seule résolution de l'ONU a vu le jour à ce sujet ? Non et non. Ne vous demandez-vous pas alors pourquoi tous ces Palestiniens ont soudainement découvert leur identité nationale après qu'Israël ait gagné cette guerre ?


La vérité est que la Palestine est un Mythe !

Le nom Palestine est utilisé pour la première fois en l'an 135 de l'ère actuelle par l'empereur Romain Hadrien, qui, non content d'avoir éradiqué la présence juive en Judée (une présence qui durait depuis plus de 1000 ans !), non content d'avoir détruit leur Temple à Jérusalem, non content d'avoir interdit l'accès du pays aux derniers Juifs, se persuada qu'il fallait annihiler toute trace de civilisation juive dans le pays en le débaptisant au profit d'un nom dérivé des Philistins. Les Philistins étant ce peuple auquel appartenait Goliath et que les Hébreux parvinrent à vaincre des siècles plus tôt. Ce baptême était pour les Romains une façon d'ajouter l'insulte à la blessure. Ils essayèrent également de changer le nom de Jérusalem en "Alea Capitolina", mais cela ne rencontra pas le même succès.
La Palestine en tant qu'entité autonome n'a jamais existé au cours de l'Histoire. Jamais ! Le pays fut dominé successivement par les Romains, par les croisés Chrétiens, par les Musulmans (qui n'ont d'ailleurs jamais fait de Jérusalem une capitale pendant qu'ils occupaient le pays), par les Ottomans et, brièvement, par les Britanniques au lendemain de la première Guerre Mondiale. Dès 1917, avec la déclaration Balfour, les Britanniques s'étaient montrés favorables à céder au moins une partie du territoire au peuple Juif afin qu'ils y établissent un Etat souverain.
Il n'existe pas de langue proprement Palestinienne. Ni même de culture spécifiquement Palestinienne. Il n'y a jamais eu de Palestine dirigée par des Palestiniens. Ces derniers sont des Arabes, et sont indissociables des Jordaniens (la Jordanie étant elle aussi une invention récente, créée de toutes pièces en 1922 par les Britanniques). Mettez-vous bien en tête que le monde Arabe contrôle 99.9% des terres du Moyen-Orient. Israël ne représente que O,1% de la superficie régionale !
Mais cela est déjà trop pour les Arabes. Ils veulent tout. Et c'est précisément là que se situe le nœud du conflit qui les oppose à Israël. Avidité. Fierté. Jalousie. Convoitise. Toutes les concessions que pourrait faire Israël n'y suffiront pas.

Qu'en est-il des lieux saints de l'Islam ?

Il n'y en a tout simplement aucun à Jérusalem.
Cela vous choque ? Vous pouvez l'être. Je suis persuadé que vous n'entendrez jamais cette vérité brutale de la part d'aucun média international. C'est politiquement incorrect.
Je sais que vous me direz : "la Mosquée Al Aqsa et le Dôme du Rocher à Jérusalem représentent le troisième lieu saint de l'Islam", après la Mecque et Médine.
Et bien, sachez que c'est faux ! En réalité, le Coran ne fait aucune mention de Jérusalem. La Mecque est citée des centaines de fois. Médine est mentionnée un nombre incalculable de fois. Mais Jérusalem, jamais (inversement, Jérusalem est citée 669 fois dans la Torah !). Il n'existe aucune preuve historique que le prophète Mohamed se soit rendu à Jérusalem.
Alors comment Jérusalem est-il devenu le troisième lieu saint de l'Islam ? Les Musulmans, aujourd'hui, se réfèrent à un vague passage du Coran, la 17ème Sourate, intitulée "le Voyage Nocturne". Il y ait fait état d'un rêve de Mohammed qui fut transporté de nuit "du temple sacré au temple le plus éloigné dont nous avons béni l'enceinte". Au septième siècle, des Musulmans ont identifié les deux temples mentionnés dans ce verset comme étant la Mecque et Jérusalem. Voilà à quoi tient la connexion si étroite entre l'Islam et Jérusalem - connexion faite de rêve, d'imagination, d'interprétations et de mythe. Parallèlement, le peuple Juif voit son enracinement à Jérusalem remonter jusqu'à l'époque du patriarche Abraham.

La dernière vague de violence qui sévit en Israël a eu comme origine, dit-on, la visite du chef du Parti Likoud Ariel Sharon sur le Mont du Temple, là où se trouvent les fondations du Temple construit par Salomon. C'est le site le plus saint du judaïsme. Sharon et son entourage y furent accueillis à coups de jets de pierres et d'insultes. Je sais à quoi cela ressemble. J'y étais. Pouvez-vous imaginer ce que ressentent les Juifs lorsqu'ils sont menacés, lapidés et tenus éloignés du lieu le plus saint du judaïsme ?
Alors, me direz-vous, quelle est la solution pour apporter la paix dans ce Moyen-Orient ? Franchement, je ne pense pas qu'un homme aujourd'hui puisse se prévaloir de détenir une solution durable. Mais s'il y en a une, elle se doit de commencer par rétablir la Vérité. La poursuite des mensonges n'apportera que plus de chaos. Continuer à mépriser un droit légitime vieux de 5,000 ans pour les Juifs, de surcroît renforcé par des preuves historiques et archéologiques éclatantes, en les confrontant à de fausses revendications, ne pourra que donner une mauvaise réputation à cette diplomatie de menteurs."